Dominique Meeùs
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Journal d’anciennes installations

Attention, il s'agit ici d’installation passées, avec des versions plus anciennes qu’aujourd'hui, avec discussion et solutions, parfois, de certaines difficultés rencontrées. Certaines informations peuvent vous être utiles, mais la plupart des informations sont dépassées, et il peut en être de même de certains jugements.

Ubuntu 8.04

J’ai réussi, malgré la surcharge des miroirs, à graver dans les premières heures un CD alternate install pour pouvoir faire face à toutes les situations. Pour mon ordinateur de bureau, j’ai choisi de mettre à niveau à partir de 7.10. Tous les serveurs étant affreusement lents, j’ai tenté la mise à jour à partir du CD, mais ça n’a pas marché. J’ai fait une mise à jour normale, à partir du Net, quelques jours après, sans problème.

Mon portable Dell en était toujours à 7.04 et refusait la mise à niveau. J’ai fait une nouvelle installation de 8.04 avec le CD alternate. L’installeur ne reconnaît pas l’adaptateur Ethernet USB Davicom dm9601 bien que le pilote soit maintenant inclus dans la distribution. Pour le reste, pas de problème et après l’installation, l’adaptateur réseau était reconnu.

Trois mois après, j’ai refait la première machine. Après l’intallation à partir du CD alternate, comme avec 7.10, je me suis retrouvé en 800 par 600. Ce n’est pas drôle. Certains dialogues ont leur OK plus bas que le bas de l’écran et il faut être assez futé pour s’en dépétrer ! Le problème est que pour des raisons pas claires, dpkg-reconfigure xserver-xorg ne donne maintenant plus la possibilité de régler l’affichage. Après de longues recherches sur Google, où j’ai trouvé de nombreux commentaires plus aigres que doux sur cettte modification de dpkg-reconfigure xserver-xorg, j’ai trouvé la suggestion d’utiliser displayconfig-gtk. J’ai ainsi pu revenir à un affichage de 1280 par 1024, mais pas à inscrire les fréquences exactes du moniteur. Je ne trouve pas normal que (i) l’installeur ne reconnaisse pas la vidéo Nvidia Nforce4 de la carte mère sur un moniteur 17 pouces moderne et que (ii) on ne puisse pas facilement y remédier de manière complète.

Sur une nouvelle machine, l’installation s’est passée sans histoire.

Serveur LAMP Ubuntu 8.04

Sur le matériel d’une tentative précédente de serveur de fichiers Debian (Pentium MMX 200 MHz avec 96 Mo de mémoire), j’ai installé un serveur LAMP. Mon site personnel est chez un hébergeur (One.com), mais je voulais un serveur sous la main pour tester différentes choses relatives à PHP et MySQL.

J’ai installé à partir du CD-ROM alternate le système de base d’Ubuntu 8.04 dans le premier disque dur (1,5 Go) avec pour /usr et /home 2 Go chacun sur le deuxième disque dur. (Dans mon ignorance, je pensais persuader Apache et les autres de mettre les données dans /home. Je ferais mieux de respecter les habitudes et de changer l’affectation des partitions.) Ensuite avec tasksel j’ai demandé un serveur LAMP. J’ai installé telnetd pour le piloter à distance en Telnet.

Par Telnet, à partir de mon poste de travail, j’ai écrit les fichiers hosts et exportfs et installé nfs-kernel-server pour partager le disque, le monter en nfs sur mon poste de travail et écrire ainsi les autres fichiers de configuration.

Ubuntu 7.10

J’ai fait un grand nettoyage : j’ai réinstallé ; de mon répertoire /home, j’ai gardé les documents mais effacé la plupart des dossiers et fichiers cachés et de sauvegarde. J’ai gardé mon courrier et les paramètres de certaines applications.

J’ai choisi de télécharger la version alternate de l’installeur. (Très lent le soir du 18-10-2007, j’ai abandonné et recommencé le matin du 19. C’était cinq fois plus rapide.) Dans celui-ci, j’ai choisi la langue française et le clavier belge, puis j’ai lancé l’installation. L’installeur m’a demandé le nom que je voulais donner à la machine, puis comment utiliser les disques. J’ai choisi de partitionner manuellement. J’avais noté la situation antérieure. J’ai bien sûr conservé /home. J’ai donné 1/2 Mo au swap, 2 Mo à /, 6 Mo à /usr et 10 Mo à /var. Ensuite, l’installeur m’a demandé mon nom complet et mon nom de login avec un mot de passe. J’ai accepté la proposition « Download language support » et, à la fin, le Grub. Le tout a pris un peu moins d’une heure.

Le résultat était un écran en 800 par 600 ! J’ai lancé (en retournant à la 1re console par Ctrl+Alt+F1) sudo dpkg-reconfigure xserver-xorg que je connais heureusement (alors avec xfree86) depuis mes premières aventures en Debian. Le pilote nv pour NVidia était correctement détecté. J’ai accepté toutes les options par défaut. Pour l’écran, la fréquence horizontale détectée était 24-80; j’ai mis 30-80 selon la documentation. Dans les définitions, j’ai déactivé celles qui n’étaient pas dans un rapport 1,25 comme 1280 par 960 et 1152 par 864. J’ai relancé (sudo shutdown -r now) et j’ai bien obtenu un écran de 1280 par 1024. Je trouve que c’est un très grave problème que l’installeur ne puisse pas faire ça tout seul. Le public visé par Ubuntu ne devrait pas devoir passer par la reconfiguration de Xorg et n’est le plus souvent pas capable de le faire.

Pour écrire ceci sans tarder, j’ai lancé Synaptic pour installer les paquets bluefish, kompozer et tidy. Je ne trouvais pas Bluefish. Bien sûr, il n’est pas dans main. J’ai modifié les dépôts (Configuration/Dépôts) pour accéder à main, universe, restricted, multiverse. J’ai désactivé les sources et le CD-ROM d’installation. Comme serveur (Télécharger depuis :), j’ai trouvé sous Autre... un bouton Sélectionner le meilleur, ce qui m’a donné tiscali.nl. (Il faut réessayer de temps en temps ; ça dépend des circonstances. J’en suis à Belnet) Le paquet linguistique français que Kompozer propose par Tools/Extensions ne marche pas. Au fait mon Firefox aussi me parle en anglais et je remarque qu’Ubuntu ne m’a pas installé par défaut le paquet language-support-fr, que j’installe donc. Ce paquet entraîne par dépendance l’installation de la localisation de Firefox. Firefox étant le navigateur Internet proposé par Ubuntu, je trouve anormal qu’Ubuntu oublie sa localisation à l’installation. À Firefox, j’ai remis l’extension Openbook.

Dès que j’ai voulu écrire le titre Ubuntu 7.10, j’ai réalisé qu’il me fallait aussi le paquet numlockx. Au début, Kompozer et Tidy ne se sont pas compris en matière d’encodage et j’ai bousillé ce fichier. (Il faut que j’étudie ça plus à fond. Je vais éviter d’utiliser Tidy en attendant.) Il était temps d’installer le paquet gftp pour récupérer la version ancienne (que j’avais aussi dans un ordinateur de backup). Réinstaller à nouveau ne prend pas beaucoup de temps avec l’excellente gestion des paquets qu’Ubuntu hérite de Debian. Mais si on a perdu certaines options, préférences… les rétablir prend assez bien de temps (fine tuning).

Réinstallé Thunderbird. Ouf, il retrouve mon courrier et mes carnets d’adresses. Comme mon courrier est maintenant en IMAP, je peux essayer aussi Evolution. Provisoirement, je ne réinstalle pas l’extension agenda de Thunderbird et j’importe dans Evolution l’agenda que j’avais récupéré de mon Nokia 6021. Si Evolution me fait meilleure impression que dans le passé, je pourrais abandonner Thunderbird. En voulant, utiliser un jingle comme signal d’arrivée de courrier dans Evolution, voulant d’abord l’écouter, Totem me signale qu’il manque les codecs et propose de les installer pour moi. Pour filtrer le pourriel (spam) dans Evolution, il faut installer un agent extérieur. J’ai trouvé qu’Ubuntu avait déjà installé Bogofilter et j’ai donc choisi de commencer avec celui-là. Autant rester dans les choix de la distribution. Si on installe quelque chose qu’on désinstalle ensuite parce qu’on se rend compte que c’est inutile, on risque de garder des librairies dépendantes inutiles. Étudier les commandes apt-get cleanapt-get autoclean et apt-get autoremove.

Evolution ne propose pas de choisir une action sur le pourriel et ne dit rien de ce qu’il en fait : l’expérience montre qu’il crée un dossier (local ?) Pourriel et y met les pourriels. Après tout ça je réalise que le format (les champs) de la fiche de contact du carnet d’adresse d’Evolution est très différent de celui de Thunderbird. Evolution permet de noter six adresses de chat dont je n’ai que faire. Thunderbird propose un large volet de note générale plus quatre détails que j’ai abondamment utilisés (pour des numéros de compte généralement, ou des prénoms d’enfants) et que je perdrais à l’importation dans Evolution. Après ce court essai de moins d’un jour, je vais abandonner Evolution et retourner à Thunderbird. (Et maintenant que je l’ai écrit, je saurai pourquoi.) Comme agenda, j’essaye Sunbird (les paquets sunbird et sunbird-locale-fr). Peine perdue, mon /home avait gardé la trace de l’installation de Lightning dans Thunderbird.

Dans le menu Applications, rajouté sous Outils système le Terminal administrateur et créé Parcourir les fichiers comme root (gksu "nautilus --browser"), pratique pour éditer les fichiers de configuration : si on clique un fichier texte de configuration dans /etc dans un Nautilus démarré comme root, l’éditeur de texte est aussi root et a donc le droit d’écrire. Un autre moyen est l’extension nautilus-gksu qui permet d’ouvrir comme root un fichier dans un Nautilus utilisateur. En parlant d’extensions de Nautilus, il y a aussi nautilus-open-terminal pour avoir un terminal ouvrant sur le répertoire voulu.

Remis dans /etc les fichiers hosts et exports dont j’avais gardé ailleurs une copie. Bizarre, malgré cela l’ordinateur de backup n’arrive plus à se connecter à mon poste de travail. Bien sûr ! j’avais oublié de réinstaller le paquet nfs-kernel-server, maintenant ça marche. Je peux récupérer du backup les bookmarks de Firefox que j’avais effacés par erreur dans mon grand nettoyage.

Je n’aime pas le caractère baroque du thème Human d’Ubuntu. Je le personalise avec un fond d’écran brun uni plus foncé que celui qui est proposé et les icones classiques de Gnome.

Remis dans /etc/bluetooth les fichiers hcid.conf et echopin que j’avais mis de côté. Réinstallé Wammu. Je peux de nouveau faire les backups de mon téléphone.

Dans /etc/fstab, je mets rw,noauto,user au lieu de defaults aux partitions vides pour qu’elles ne soient pas montées chaque fois et n’encombrent pas mon bureau.

Réinstallé Wengo. Ajouté le dépôt (repository) de Skype pour l’installer aussi.

Sous Ubuntu 7.10, pas besoin de se soucier d’installer des imprimantes. Elles fonctionnent d’emblée "out of the box", point c’est tout. (Mais ça n’interdit pas de regarder si elles n’iraient pas encore mieux avec d’autres pilotes. Essayer.) Pour imprimer, il n’est pas mauvais d’avoir un peu plus de polices. Celles que "les autres" utilisent sont dans le paquet msttcorefonts. Ce paquet de polices sera installé aussi comme dépendance du méta-paquet ubuntu-restricted-extras qui sert à installer par dépendance toute une série de choses qui sont propriétaires ou dont la légalité est variable selon les pays comme des codecs nécessaires pour la vidéo avec Totem/gstreamer. 

Le reste sera pour plus tard.

Ubuntu 7.04

Mise à jour. Parfois je me demande si un grand nettoyage ne serait pas bienvenu. Mais certaines bizarreries ont leur origine dans /home. Il faudrait faire un nettoyage sélectif dans les fichiers et dossiers cachés pour garder les préférences sans les défauts.

Ubuntu 6.10

Précédemment, j’ai choisi de réinstaller, pour faire un grand nettoyage, plutôt que de mettre à jour. De fait si on se contente de modifier les dépôts pour passer d’une version à l’autre de Debian ou d’Ubuntu, on a les paquets mis à jour mais pas une distribution cohérente parce que ça ne retire pas les paquets devenus inutiles. Pour mettre à jour proprement de 6.06 à 6.10, il faut lancer un terminal avec droits de root par gksudo /usr/bin/x-terminal-emulator et dans celui-ci update-manager -c qui prend en charge le changement de version, y compris la suppression de ce qui ne convient plus à la nouvelle.

Ubuntu 6.06

Il n’y a plus de CD différent pour le Live CD et l’installation. Il y a un nouvel installateur graphique sur le Live CD. (On le télécharge sur le site d’Ubuntu.) L’ennui, c’est que ce Live CD ne prétend pas me donner autre chose comme définition que 640 par 480. Avec ça, on ne peut pas installer parce qu’on n’accède pas au bas des fenêtres où se trouve le bouton Suivant. Comme quoi, le GNU/Linux, c’est, comme l’enfer, pavé de bonnes intentions: ce serait magnifique si ça marchait vraiment.

Comme j’ai déjà eu des problèmes de ce genre dans mes débuts avec Debian, puis avec Ubuntu 5.10, j’ai lancé sudo dpkg-reconfigure xserver-xorg et j’ai répondu aux questions du mieux que j’ai pu. Ensuite j’ai trouvé sur Internet qu’il faut faire Ctrl-Alt-Backspace pour relancer le serveur X. Cela fait, c’est vrai que l’installateur est très bien (et la version installée me donnait bien une définition d’écran de 1280 par 1024). Une des seules questions importantes posées est celle d’utiliser tout le disque ou de partitionner manuellement. Dans ce cas, l’installeur montre les partitions et propose des point de montage que l’on peut modifier avec des listes déroulantes. Vraiment bien. Je conserve bien sûr /home et je formatte le reste.

Ubuntu 5.10 (Breezy)

En principe, dans une distribution Debian ou dérivée, on ne devrait jamais réinstaller. Pour la version 5.10, je suis quand même reparti de zéro, à nouveau comme disent les comptables. Je voulais être sûr d’avoir tous les avantages de la nouvelle version et rien que ce qui est nécessaire du point de vue de cette version. Je soupconne qu’une mise à jour ne va pas effacer les logiciels obsolètes qui vont donc coexister inutilement avec les nouveaux. Par exemple, je regardais les pdf avec xpdf. Le nouveau Gnome propose Evince, je n’avais donc plus besoin de xpdf.

J’ai téléchargé l’image iso d’Ubuntu 5.10 dès le jour de sa sortie, le 13 octobre 2005. Le programme d’installation est un peu fruste dans sa présentation (pseudo-graphique en mode texte) mais assez facile et efficace. (Je ne connais que la version 4.10 Warty puisque je n’ai pas dû installer Hoary, j’ai simplement mis à jour.) Il pose peu de questions et reconnait bien le matériel. D’abord le choix (listes) de la langue, du lieu et du type de clavier. Ensuite, le choix entre utiliser tout le disque (le plus simple pour l’utilisateur débutant qui se passe entièrement de Windows) ou d’autres options prédéfinies ou une partition manuelle. Il est important d’avoir une bonne stratégie de partition.

Si on choisit une partition manuelle, il faut modifier chaque ligne d’options en tapant Return pour ouvrir le choix. On choisit ainsi :

Méthode d’utilisation : formater

Système de fichier : ext3

Point de montage : /

puis fin du paramétrage de cette partition. (Et ainsi de suite pour les autres partitions, sauf la partition des documents personnels que l’on monte en /home et qu’on ne formate généralement pas!)

Ensuite, le programme d’installation propose d’installer Grub qui va reconnaître tous les systèmes d’exploitation déjà présents sur le disque, en plus de celui qu’on installe, et composer un menu de démarrage. Ensuite, on retire le CD et le système redémarre à partir du disque dur.

Le programme d’installation crée alors l’utilisateur principal: nom complet / nom court de login / mot de passe et confirmation. On peut choisir de mettre à jour à partir du réseau les programmes du CD. Tout est alors installé et paramétré et on peut commencer à travailler (ou à fignoler) après environ une bonne demi-heure de travail (ou d’attente) d’installation au total (non compris le téléchargement et la gravure du CD, bien sûr !)

Donc le programme d’installation est très bon. Pour tout dire, il n’est pas fiable à 100 % : tout s’est bien passé sauf que je n’avais que du VGA (480 par 600) ! J’ai essayé
sudo dpkg-reconfigure xserver-xorg
j’ai répondu les réponses évidentes (rien de spécial) à toutes les questions et au bout du compte j’étais en 1280 par 1024 comme mon écran (AG neovo 17") le permet et comme je le désirais.

J’ai aussi fait l’expérience d’installer Ubuntu 5.10 sur un portable Compaq qui n’était plus de première jeunesse. Aucun problème, le touchpad fonctionne, le portable se met en veille en refermant le couvercle et cetera.

Après l’installation

De Debian, Ubuntu hérite la gestion tout à fait supérieure des paquets de programme et de leur dépendances. Cela se fait de manière graphique avec Synaptic. Avec Ubuntu 6.06, tout est adapté à la langue et au pays et j’ai laissé les miroirs par défaut des archives Ubuntu.

Sinon, voir le Système de miroirs Ubuntu. La dernière fois que j’ai fait des comparaisons, c’était belnet.be le plus rapide. Sinon ftp.join.uni-muenster.de. Donc dans Synaptic, introduire
http://ftp.belnet.be/pub/mirror/ubuntu.com/ubuntu/
 
comme dépôt (repository) (ou bien éditer le fichier /etc/apt/sources.list). 

Pour changer de version, changer le nom de la version, par exemple, warty en hoary à la suite de l’adresse du dépôt.

Pour bénéficier complètement de la traduction en français de Hoary, il faut installer les paquets language-pack-fr et language-support-fr.

Cela étant fait, on peut fignoler son installation d’Ubuntu en installant quelques paquets supplémentaires. Pour ça, et pour le reste, je vous recommande la lecture du guide non officiel d’Ubuntu (original en anglais, il en existe aussi une traduction française). Dans Ubuntu 6.06, voir aussi Aide/Documentation en ligne par le menu Système, à savoir http://help.ubuntu.com/.

Num Lock

J’ai immédiatement installé le paquet numlockx pour avoir le pavé numérique activé au démarrage de l’interface graphique.

Utilisateur root

Dans Ubuntu, l’utilisateur principal (le compte créé à l’installation) a des pouvoirs d’administration suffisants. Ce système semble un bon compromis entre facilité et sécurité. Je m’y suis habitué. J’ai surtout créé à l’extrême droite de la barre supérieure de Gnome (pour les distinguer des lanceurs que j’ai mis à gauche à la suite des menus) des lanceurs avec gksudo x-terminal-emulator, gksudo "nautilus --browser", gksudo synaptic et gksudo gnome-search-tool pour accéder directement aux fonctions d’administration.

L’utilisateur root n’est pas activé mais il peut l’être (il suffirait de lui donner un mot de passe : passwd root).

(Dans ma première installation d’Ubuntu, j’avais cependant activé root parce que je suis un chipoteur impénitent. J’avais l’excuse que voulant récupérer et les documents, et les courriers, et les options, réglages, préférences… d’anciennes installations Debian unstable (en devant chaque fois changer de propriétaire avec chown), j’avais particulièrement plus de travail d’administration qu’un utilisateur moyen lors d’une première installation. Dans la foulée, des permissions ont changé et j’ai dû approfondir ma connaissance de chmod pour en sortir.)

Bluefish et KompoZer (NVU)

J’ai vite installé mon éditeur html préféré, Bluefish, pour pouvoir écrire la présente page avant d’avoir tout oublié. Avec Tidy pour garantir la qualité et la lisibilité du code. Et KompoZer comme éditeur wysiwyg. Aussi gFTP (paquet gftp-gtk) pour partager ces pages avec vous.

Installé Wikindx pour gérer ma bibliographie et la publier sur mon site.

Courrier

Ubuntu propose Evolution pour le courrier. Je me méfie. J’y ai mis un compte de courrrier peu utilisé, pour des essais. J’ai installé Thunderbird (que j’utilisais jusqu’alors) pour mes comptes de courriers vraiment utilisés et j’ai récupéré mon carnet d’adresse et mes anciens courriers.

Evolution comporte un agenda. On peut installer une telle fonctionnalité comme extension de Thunderbird avec Lightning. Mozilla offre aussi une application indépendante, Sunbird. Mais dans l’avenir, Lightning devrait présenter l’avantage d’une intégration avec les e-mails et les carnets d’adresse de Thunderbird.

Pour installer la correction orthographique, dans une autre langue, comme le néerlandais, utiliser dans le menu Outils la commande Modules complémentaires et dans ce dialogue Obtenir des extensions. On est renvoyé à des pages où on trouve facilement le module. Cependant, si on double-clique le lien, il s’installe dans Firefox ! Pour l’installer dans Thunderbird, il faut le sauver sur le disque et utiliser le bouton Installer… du dialogue Modules complémentaires ou, plus simplement, glisser le lien dans cette fenêtre.

L’extension SignatureSwitch permet de choisir entre plusieurs signatures.

Sécurité

Ubuntu offre GnuPG. J’installe Seahorse comme interface sous Gnome, voir Privacy.

J’avais installé clamav comme antivirus et firestarter comme firewall. Voir Protection. Je n’ai plus réinstallé ces programmes dans les dernières installations.

Le programme Bastille propose de durcir la sécurité d’un système Linux, de le transformer en forteresse. J’ai eu des problèmes. Voir Protection.

Locale utf-8-euro

Depuis Ubuntu 5.10, c’est utf-8 par défaut.

Ayant déclaré à l’installation que je parlais le français en Belgique, Ubuntu Warty m’a installé iso-8859-1 comme locale. J’ai lancé dpkg-reconfigure locales pour choisir utf-8 avec euro et supprimer iso-8859-1. (Un autre choix possible serait iso-8859-15.) J’ai alors choisi utf-8 comme locale par défaut du sytème.

Firefox

La fenêtre de dialogue Bookmark this page (Marquer cette page…) de Firefox est embêtante parce qu’elle ne propose que les derniers dossiers utilisés. Il faut cliquer une petite flèche à droite pour ouvrir tout l’arbre. L’extension OpenBook modifie ce comportement. (Menu Tools, commande Extensions.)

J’avais trouvé une extension Synchronise Bookmarks qui exportait les Marque-pages vers le disque ou en FTP, dans un format xml adapté. Cela me permettait de les afficher sur mon site et cela constituait un backup. Cette extension ne marche plus avec Firefox 3, mais j’ai trouvé le moyen de faire la conversion « à la main » et j’ai beaucoup appris sur ces questions.

Le paquet flashplugin-nonfree installe le reste de Flash. Mais ça n’empêche par Firefox, du moins sur certains sites, de prétendre qu’il manque des extensions pour afficher la page. Il vaut mieux installer ce que donne le site d’Adobe. Décomprimer le install_flash_player_9_linuxtar.gz et exécuter flashplayer-installer dans un terminal superutilisateur.

Il arrive souvent que Firefox estime que « la précédente session s’est interrompue inopinément » (et propose de « Restaurer la session précédente ») alors que ce n’est pas du tout le cas. Il semble que Firefox est tellement lourdaud (ou qu’il a un bug) qu’il n’arrive pas à fermer dans un temps raisonnable sur un signal TERM (ou SIGTERM) et qu’il est donc finalement victime d’un KILL. On peut éviter ce dialogue de restauration de session en modifiant browser.sessionstore.enabled de true en false dans la page about:config (écrire la clef si elle n’existe pas).

Multimédia

Totem est une interface utilisateur pour l’un ou l’autre des programmes gstreamer et xine. Ubuntu a choisi gstreamer qui est le plus prometteur, le plus dans le vent. Ce n’est pas nécessairement le meilleur pour tout mais il progresse (comme souvent en Linux, les programmes sont plus intéressants par leurs promesses que par leurs fonctionalités ; c’est l’aspect dynamique de Linux -:). Voir Multimédia. Dans Ubuntu 6.06, voir aussi Aide/Documentation en ligne par le menu Système, à savoir
http://help.ubuntu.com/ et plus particulièrement
http://help.ubuntu.com/ubuntu/desktopguide/C/index.html où il y a des pages sur Music, Video (y compris la manière de décrypter certains DVD) et les codecs multimédia.

Le paquet mimms donne un utilitaire en ligne de commande très simple pour capturer les flux mms.

Reconnaissance de caractères (OCR, optical character recognition) Tesseract

Pour la reconnaissance optique de caractères, j’avais installé ocrad et gocr. Aucun des deux n’est comparable aux grands logiciels commerciaux, mais je trouvais ocrad un peu plus fiable. Par défaut, XSane appelle gocr.

Mais tout ça c’est maintenant dépassé. Avec la version 2 de tesseract-ocr, on a un ocr gratuit de niveau professionnel. J’ai cru voir passer cette version 2 dans les dépôts d’Ubuntu, puis je n’ai plus trouvé que la version 1, alors que les paquets Ubuntu pour la version 2 circulent sur Internet. J’ai trouvé sur Softpedia et installé tesseract-ocr_2.01-1~getdeb1_i386.deb et tesseract-ocr-data_2.01-1~getdeb1_all.deb avec dpkg -i. Chacun des paquets dépend de l’autre, donc quoi qu’on fasse, on a une erreur. Il faut répéter l’installation du premier après le second pour réparer son installation ratée. En outre le paquet …data est vide. Ou bien on remplit les fichiers avec les instructions de training du logiciel ou bien on prend des paquets de données de langue dans Debian unstable et on en copie les fichiers à la place des fichiers de données vides. Peut-être qu’on aura un jour dans Ubuntu les paquets de la version 2 avec des données non vides et ce sera plus facile à installer. Depuis mon installation, j’ai trouvé la page http://doc.ubuntu-fr.org/tesseract-ocr dont les indications sont peut-être meilleures que les miennes. Tout est maintenant dans Ubuntu 8.04. On installe donc par Synaptic sans devoir chipoter.

Quoi qu’il en soit, ça vaut vachement la peine. On scanne une page d’un livre en français en trait à 300 dpi en format TIFF et ça donne en trois secondes le texte sans une seule faute. Qu’on se le dise, maintenant sous Linux il y a un vrai OCR de qualité gratuit !

Langue et orthographe

Diverses choses à installer pour que certains programmes s’affichent en français et qu’OpenOffice.org et les autres corrigent l’orthographe en diverses langues. Voir avec Synaptic.

OpenOffice.org corrige l’orthographe mais pas la grammaire. J’ai installé un remrquable correcteur payant, Antidote RX

Le paquet verbiste installe dans les Accessoires une application de conjugaison française.

Installé Wikindx pour gérer ma bibliographie et la publier sur mon site.

Skype

J’utilise Skype avec Skype Out depuis des mois pour appeler pour presque rien des téléphones fixes en Belgique et dans les principaux pays du monde. Pour l’installation et quelques finesses, voir la page Skype - Community Ubuntu Documentation. Voir aussi ma page media.

Divers

J’ai trouvé une page Tweaking Ubuntu after your first installation. J’en ai suivi les conseils en ce qui concerne Nvidia. (Est-ce bien nécessaire ?) J’ai aussi installé le noyau en variante -k7. Cette page rappelle l’intérêt de mettre à jour de temps en temps. Les instructions d’installation Java fonctionnent bien.

J’ai installé une série de polices TrueType. Il y a un paquet msttcorefonts. Je connais encore trop peu dfontmgr pour juger de son utilité.

J’essaye d’utiliser gnucash pour mes comptes de ménage.

J’ai installé dia pour les diagrammes.

Le paquet smartmontools surveille la santé du disque dur.

Selon les besoins, divers moyens de conversion de formats de fichier.

Le nom de l’extension nautilus-open-terminal de Nautilus dit assez bien ce que ça veut dire : une commande par clic droit qui ouvre un terminal au niveau du dossier choisi dans Nautilus. Moins de cd pour travailler en ligne de commande.

Le paquet visitors donne un excellent analyseur de journal de site web.

Dans /etc/ntp.conf ou par le dialogue lié à l’horloge du bureau Gnome, je choisis les serveurs de temps ntp1.oma.be et ntp2.oma.be de l’Observatoire royal de Belgique. Ils ont une page d’instructions pour le temps sous Linux. Par défaut, le paquet ntpdate est installé et cette commande, dans un terminal (avec sudo), permet de se synchroniser à la demande. Mais si on passe par l’application qui affiche la date et l’heure sur le bureau de Gnome, celle-ci propose l’installation du paquet ntp complet.

Installer des paquets (ou des versions) Debian non disponibles dans la distribution Ubuntu, ou des paquets rpm

Si on mélange des versions, il faut le noter dans le fichier /etc/apt/preferences pour éviter les problèmes de mise à jour. Voir l’exemple de Tidy et la documentation Apt-HOWTO sur ces préférences.

Le paquet alien permet de transformer des paquets rpm en paquets deb (alien pack.rpm) ou même de les installer directement (alien -i pack.rpm).

La première version d’Ubuntu (4.10, Warty) ne proposait que Bluefish 0.12. Mais je m’étais habitué à 0.13 et à des fonctionnalités qui ne sont pas disponibles avec 0.12. (Dans Ubuntu 5.04, Hoary, c’est Bluefish 1.0, pas de problème.) J’ai donc triché. (À faire avec prudence, jamais sur des programmes essentiels du système ou qui vous entraînent dans le changement de trop de paquets dépendants. Sinon vous allez perdre l’avantage de la cohérence et de la stabilité d’Ubuntu. Si vous ne pouvez pas vous empêcher de toucher tout le temps à tout, ne choisissez pas Ubuntu mais Debian unstable.) J’ai pris un backup de /etc/apt/sources.list. J’en ai écrit un autre avec mon dépôt unstable favori : deb http://ftp.u-picardie.fr/mirror/debian/ unstable main contrib non-free. (J’ai trouvé cela le site le plus rapide d’accès à partir de Belgique.) J’ai installé Bluefish (0.13) et une librairie dont il dépend. J’ai rétabli le sources.list Ubuntu original.

Rétrospecivement, je ne trouve pas ça une bonne méthode parce que mélanger les distributions risque de troubler la gestion sophistiquée des versions des paquets debian. Il vaut mieux charger le paquet et l’installer avec dpkg. C’est ce que j’ai fait lors d’une réinstallation.

Premier essai Debian Sarge

J’avais fait de timides essais de Knoppix et de Debian Woody en 2003. Je me suis mis pour de bon à Linux au printemps 2004. J’ai installé alors la version moyenne, Testing "Sarge" de Debian ("Woody" Stable trop obsolète, Unstable trop risquée – j’ai changé depuis) à partir de son nouveau programme d’installation Debian Installer beta 3. (Printemps 2005, "Sarge" est devenue la nouvelle version stable, mais je ne sais pas si ça présente beaucoup d’intérêt face à Ubuntu.) On chargeait cet installateur comme image iso de 100 Mo. Cette image comporte aussi un minimum de système Debian de base pour se connecter au réseau et charger le reste. Cela suppose que la carte réseau soit reconnue, ce qui a été mon cas. (J’avais un modem ADSL Ethernet externe qui me sert une adresse en DHCP.)

Je n’ai malheureusement pas pris des notes complètes de tous les choix, judicieux ou non, que j’ai faits pendant l’installation. Langue : français Belgique ; clavier belge.

Dans le programme d’installation, j’ai choisi avec taksel une installation assez modeste: un environnement graphique à usage bureautique. Ça n’empêche pas l’installation de milliers de packages dont la majorité ne servira jamais. On pourrait les choisir un à un avec dselect mais ça voudrait dire faire des milliers de choix dans une liste et comment choisir des centaines d’applications qu’on ne connaît pas encore ?

Il faut essayer d’installer le moins possible pourvu qu’on ait au moins un environnement graphique. Il faut alors utiliser l’excellente application Synaptic pour installer le reste au fur et à mesure des besoins.

Serveur de fichiers Debian

Installé en mai 2006 Debian 3.1 comme serveur de fichiers (dans l’idée d’y garder des archives ou des backups) sur un Pentium MMX 200 MHz avec 96 Mo de mémoire, un disque dur de 1,5 Go pour le système et un disque dur de 4 Go à partager et une carte de réseau.

(J’ai aussi encore un 486dx2-66 avec 16 Mo de RAM et un disque de 300 Mo mais je crains que ce ne soit un peu trop peu pour en faire quelque chose d’utile. Ça tournait quand même en Windows 95.)

Comme cette machine refusait de démarrer à partir d’un CD-ROM (bien que le setup du BIOS le proposait), j’ai préparé des disquettes de démarrage avec trois images de disquettes boot.img, root.img et net-drivers.img proposées par Debian (comme on continue par le réseau, on n’a pas besoin de cd-drivers.img). Ça se décharge en une seconde ! On grave les trois images sur trois disquettes avec des commandes comme dd if=boot.img of=/dev/fd0 bs=1024 conv=sync ; sync. On démarre avec la disquette Boot qui demande la disquette Root pour continuer le démarrage. L’installateur propose alors de recopier les drivers de la disquette Net puis tout s’installe à peu près tout seul. L’installateur m’a juste demandé ma langue (français), mon clavier (belge), un mot de passe pour l’administrateur root, un nom et un mot de passe pour un utilisateur ordinaire. J’ai aussi accepté d’utiliser tout le disque dur (celui de 1,5 Go) où l’installateur a créé une partition de swap. L’installateur installe alors un Debian de base à partir d’Internet (il m’avait demandé aussi de choisir une source dans mon pays; j’ai choisi Belnet). (Je suis dans un réseau Ethernet derrière un routeur relié à Internet et qui fournit un serveur DHCP.) Quand le système de base est installé, l’installateur demande le genre de poste qu’on veut. Il suffit de choisir la proposition serveur. Tout ça est remarquablement facile et efficace.

Reste ensuite à faire quelques réglages du partage en NFS ou en Samba. On pourrait probablement désinstaller certains paquets inutiles pour le seul partage de fichiers.

Installation d’un poste de travail minimaliste

Le but est d’installer un poste de travail léger à coût nul pour une utilisatrice débutante. Il s’agit du même Pentium MMX 200 MHz avec 96 Mo de RAM que pour l’essai de serveur ci-dessus. La carte graphique est une Diamond 64+ basée S3 avec, je suppose d’après son nom, 64 ko de mémoire. Le moniteur 14″ semble reconnu comme 28-64 kHz horizontal, 43-60 Hz vertical. Seulement depuis l’an dernier, il y a du changement, le CD boote très bien tandis que le lecteur de disquette à l’air malade. Tout change…

Le Live CD de Xubuntu ne marche pas. J’ai utilisé l’installateur Alternate. Il doit avoir un problème avec ce matériel parce que c’est d’une lenteur effroyable. J’ai laissé tourner l’ordinateur des heures (si pas des jours) pour terminer quand même, avec un résultat qui ne m’a pas satisfait.

J’ai essayé une série de distibutions légères comme Damn Small Linux ou Puppy Linux qui fonctionnaient, mais ne me satisfaisaient pas, soit pas de traduction en français, soit un affichage limité à 800 × 600, soit je ne sais plus quoi, sans doute un bureau trop chargé de gadgets qui me semblaient devoir compliquer la vie de mon utilisatrice plutôt que l’aider. Antix refuse de démarrer à moins d’un Pentium 2.

Les créateurs de distributions légères veulent répondre à deux problèmes différents en même temps :

  1. tourner sur des machines moins puissantes ;
  2. mettre tout sur un support limité (CD-ROM ou clef USB) ;

mais mon problème n’est pas tellement (ii) l’espace (voir le partitionnement ci-dessous avec 2 Go pour /usr) que (i) le processeur et la mémoire.

J’ai résolu de me faire ma propre distribution légère. J’ai installé en mode texte une Debian stable (Etch) de base. J’ai partagé en deux fois 2 Go le deuxième disque dur pour /usr et /home et j’ai installé le système sur le premier disque dur (1,5 Go). J’ai effacé tout ce qui ne me plaisait pas, comme tous les agents de courrier genre sendmail, postfix ou que sais-je. J’ai ajouté x-window, gdm et xfce4-desktop avec Kazehakase comme browser, Abiword pour écrire et xfmail pour le courrier électronique. C’est en français, c’est en 1024 ×768, c’est Debian et ça marche. J’ai ajouté gonme-ppp pour que l’utilisatrice puisse se connecter facilement par modem.

Je dois avouer que j’ai eu beaucoup de mal à autoriser l’utilisatrice à quitter (redémarrer, éteindre) à partir du bouton ad hoc du bureau xfce4. Par défaut, elle pouvait juste fermer sa session, les autres options étaient en grisé et inactives. J’ai cherché longtemps et vainement sur Google pour trouver finalement sur le wiki de xfce.org. Il faut éditer avec visudo le fichier /etc/sudoers (il est réputé interdit de l’éditer directement) et y écrire

%powerdev ALL=NOPASSWD:/usr/sbin/xfsm-shutdown-helper

où le chemin /usr/sbin/ est propre à Debian. Il peut être différent dans une autre installation de xfce4, il est différent dans le wiki et dans tout ce que j’ai trouvé sur Google. J’ai du localiser xfsm par locate. Le groupe powerdev aussi est une particularité Debian.

Il faut d’autre part rendre l’utilisatrice (supposons que ce soit aussi son nom de login) membre du groupe powerdev :

gpasswd -a utilisatrice powerdev

Suite à ça, les boutons Redémarrer et Éteindre sont actifs. Il y a aussi une méthode avec dbus-1 et hal que j’ai essayée d’abord, mais je n’ai pas réussi par cette voie.

Je ne suis pas arrivé à ce que gnome-ppp fasse de manière transparente une connexion modem quand c’est nécessaire. Il faut établir la connexion (en donnant son mot de passe parce que c’est par gksudo — le modem semble chasse gardée de l’utilisateur root). Cela n’est pas très « user friendly ». Comme en plus la machine était, malgré tous mes efforts de légèreté, quand même un peu poussive en mode graphique, on a jugé qu’on risquait de dégoûter la débutante et le projet a été abandonné.

Dominique Meeùs, retour en haut de la page