Dominique Meeùs
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OmegaT crée pour chaque projet une série de répertoires de travail, dont un pour le texte source et un pour le texte cible. Quand le travail est fini et qu’on a repris tout ce qu’il y avait à reprendre, je propose de faire de l’ordre en supprimant les répertoires du projet. Je recommande donc de ne pas utiliser les projets OmegaT pour les textes qu’on reçoit et qu’on conserve, mais de garder ses habitudes antérieures en matière de répertoires.
Exemple :
Il faut considérer tout ça comme des répertoires temporaires (sauf bien sûr le dossier Mémoires des mémoires de traduction !!!), seulement pour le temps où l’on est dans OmegaT. (Ce sera plus facile à comprendre lorsqu’on commencera avec OmegaT.)
Il faut continuer à utiliser sa structure habituelle, du genre :
Chaque projet OmegaT crée la mémoire de traduction du projet et lit les mémoires existantes qu’on lui propose. Sauf exception, on désire dans chaque projet exploiter le maximum de mémoires des projets déjà traduits et d’origines diverses. Il est donc bon de prévoir un répertoire commun à tous les projets pour les mémoires qui seront exploitées, comme Mémoires dans l’exemple ci-dessus.
Il en est de même du ou des glossaires. On pourrait en faire un sous-répertoire du précédent si c’est plus facile (tout dans le seul Mémoires) à archiver ou à passer à des traducteurs amis.
Ayant ainsi un dossier de projet pour un texte à traduire, il faut préprarer le texte.