Dominique Meeùs
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Principes d’économie politique (1936) de Louis Ségal
Le livre de Ségal est structuré en chapitres, sections, paragraphes 1. Une particularité est qu’un chapitre n’est pas toujours à proprement parler divisé en sections, dans la mesure où il commence parfois par un texte introductif (non titré comme une section) et où la division en section ne commence qu’avec le développement du chapitre après cette introduction. De même les sections commencent souvent pas du texte avant la division éventuelle en paragraphes.
On peut aimer les pages web plus ou moins longues. Les chapitres de Ségal sont bien sûr trop longs pour une page. On peut hésiter sur la division en sections ou en paragraphes. Je me suis résolu à donner les deux 2. Par contre, pour imprimer, les critères sont différents que pour lire. On pourrait alors préférer quand même la division par chapitres, ou même le livre entier en une seule page. Je réponds aussi à ce souhait 2. Cela donne finalement quatre variantes :
[1] Au sens premier du mot paragraphe en français (et en néerlandais) de division d’un texte sur un point de l’exposé. On l’utilise aussi (abusivement dit le TLFi en A.2.) pour désigner un alinéa, ce qui est le sens premier de paragraph en anglais. La contamination par l’anglais en informatique fait que beaucoup de gens ne disent plus jamais « alinéa » mais « paragraphe » et ont oublié que paragraphe a d’abord un autre sens.
[2] Le livre est composé en XML selon les directives de la TEI. Vous pouvez regarder ce fichier source si ça vous chante : c’est ecopolSegal.xml. Sa transformation en pages web est programmmée avec un paramètre de profondeur de division. Il me suffit de jouer sur ce paramètre pour produire en trente secondes environ, à partir de la source unique, les quelque 350 pages web des quatre éditions ci-dessus, dans les sous-dossiers correspondants. Moi, j’ai composé et je maintiens (et je continue à améliorer pour l’index des notions et la qualité des citations) le seul fichier ecopolSegal.xml (un peu plus de 1 Mo) ; je ne dois pas moi-même composer ces 350 pages des quatre versions. (C’est l’un des grands intérêts de travailler en TEI, un autre étant l’index des notions, ici encore en construction.)