Dominique Meeùs
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Sous interface graphique basée GTK+ (comme dans le Gnome d’Ubuntu), on introduit les caractères Unicode par leur code hexadécimal précédé de u (comme Unicode) en maintenant enfoncées les touches Ctrl et Maj (Ctrl et Shift en franglais). Par exemple, Crtl+Maj+ubf pour le point d’interrogation inversé ¿ de l’espagnol dont le code Unicode est bf. Les chiffres éventuels dans le code peuvent être entrés indifféremment au pavé numérique ou dans la partie alphanumérique du clavier (ce qui est pratique sur un portable).
(Dans des versions plus anciennes de GTK, c’était plus direct : il ne fallait pas le u.)
On peut trouver le code en hexadécimal dans l’utilitaire Table de caractères ou sur http://www.unicode.org/charts/charindex.html par leur nom en anglais ou en français sur http://www.unicode.org/fr/charts/charindex.html ou en tables partielles sur http://www.unicode.org/charts/ en pdf. J’ai aussi mes propres tables (partielles) pour html et une table des caractères spéciaux les plus courants en Unicode.
Même sous Gnome, ça ne marche que dans les applications suffisamment conformes 1. Dans des applications non intégrées à l’interface, une manière de contourner la difficulté (work around) est de garder ouverte une fenêtre de gedit, d’y introduire le caractère par son code puis de le copier-coller dans l’application asociale. L’idéal est cependant l’entrée directe au clavier, comme expliqué dans la section suivante sur les bons claviers.