Hu, S. (Ed.). (1994). L’histoire du parti communiste chinois: 1921-1991. Pékin: Éditions en langues étrangères. |
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Added by: Dominique Meeùs 2010-12-09 00:39:25 |
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Le PCC lui-même se trouvait devant une nouvelle épreuve. La position qu’il occupait désormais [exercer le pouvoir d’État à partir d’octobre 1949] exigeait que ses membres apprennent au plus vite à assumer des responsabilités complètement différentes de celles qui avaient été les leurs. |
Thomson, G. (1973). Les premiers philosophes M. Charlot, Trans. Paris: Éditions sociales. |
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Added by: Dominique Meeùs 2010-02-07 21:37:31 |
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Comparons, avant de poursuivre, les contraires pythagoriciens avec le yin et le yang des Chinois (p. 70). Les deux théories ont en commun le point suivant : elles postulent toutes deux une série de couples, où à chaque fois, l’un des éléments est moralement supérieur à 1’autre ; en outre, elles s’accordent pour exclure, ou du moins pour rejeter à l’arrière-plan, une origine du monde dans le temps. Mais, quoique grosse d’idéalisme et de dualisme, la théorie chinoise reste moniste et matérialiste, le conflit des contraires étant réconcilié et contrôlé en la personne du roi. La théorie chinoise est donc moins avancée que celle des Pythagoriciens. C’est la conception d’une intelligentsia commerçante dans une société où le développement de la production marchande est bloqué par le despotisme oriental. |