Dominique Meeùs
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Le temps travaille pour nous
Militant syndical dans les années 1990
Crise, nouvelles technologies, internationalisation
Jo Cottenier, Kris Hertogen
Éditions EPO
Bruxelles
:
1991
Table of contents
Colophon du livre de 1991
À propos de cette édition
Index des textes encadrés
Table des illustrations
Guide d’utilisation
Introduction
Chapitre 0. La crise idéologique du mouvement syndical
01. Les dirigeants syndicaux avant et lors de l’éclatement de la crise
011. La démocratie économique comme objectif final
012. Les piliers : intervention de l’État et concertation
013. Vers une intégration croissante
014. La cogestion a-t-elle eu son temps ?
015. Comment neutraliser les communistes ?
016. Il y a de la crise dans l’air
017. Un virage à droite global
018. La nostalgie de la concertation sociale
02. L’offensive patronale
021. L’assaut libéral
022. La sociale-démocratie internationale prend également un virage à droite
03. La tactique patronale face à la direction syndicale
031. Mieux vaut avec que sans direction syndicale
032. Éliminer les dirigeants syndicaux récalcitrants
033. Liquider les plus importants foyers de résistance
034. Briser le pouvoir syndical
04. La corrélation entre « prospérité » et intégration
041. L’origine de l’opportunisme dans le mouvement ouvrier
042. Moins de miettes, mais plus de résignation
043. La sociale-démocratie comme gestionnaire du capitalisme et de l’impérialisme
05. Militant syndical dans un monde en évolution
Première partie La nouvelle situation et les nouvelles tâches
Chapitre 1. Les crises passées et à venir
11. Le capitalisme engendre les crises
111. La fatalité des crises
112 Crise structurelle et conjoncturelle
113. La « prospérité » structurelle avant 1970
114. La crise structurelle après 1970
115. Une nouvelle phase de la crise générale du capitalisme
12. La stratégie patronale : augmenter le taux de profit et conquérir des marchés
121. La « position concurrentielle » ou l’accroissement du taux d’exploitation (SV)
122. L’État détruit du capital et apporte du capital frais
123. Concentration énorme et centralisation du capital
124. La politique de crise envers le tiers monde
125. Les pays de l’Est : plus qu’un nouveau marché
13. Syndicat et crise
131. Le réveil moral comme couverture pour la collaboration de classe
132. Le syndicalisme réaliste : le même vin dans de nouvelles outres
133. Respect de la position concurrentielle
134. Soutien au « capitalisme dynamique »
14. La crise démontre la faillite du capitalisme
141. Se préparer aux nouvelles crises
142. Le chemin du « réalisme » est celui de la soumission éternelle
143. La position concurrentielle est une question patronale et non syndicale
144. Le capitalisme dynamique est un capitalisme agressif
Chapitre 2. Les nouveaux développements technologiques
21. Le développement des forces productives
211. Le concept du matérialisme historique
212. La contradiction forces productives-rapports de production
213. Les lois économiques
214. L’actuelle révolution scientifique et technologique (RST)
22. La mise en œuvre des nouvelles technologies par le patronat
221. Crise et nouvelles technologies
222. Nouvelles méthodes de production
223. Nouvelle technologie et nouvelles formes d’organisation
224. Nouveau système de production et management participatif
225. Le travailleur flexible
226. Accroissement du taux de profit grâce à la production flexible
227. La tactique patronale : avec les syndicats
23. Syndicat et nouvelle technologie
231. « On n’arrête pas le progrès »
232. Une issue à la crise ?
233. La fin du taylorisme ?
234. La percée de l’autogestion ?
235. Les organes légaux de concertation et la délégation syndicale en danger
236. La flexibilité positive et la qualité positive
237. La conception et la tactique syndicale à l’égard du management participatif
24. Nouvelle technologie : la nécessité du socialisme
241. La technologie : au service de quoi ?
242. Le capitalisme freine le développement des forces productives
243. Le socialisme a-t-il échoué ?
244. Combattre les conséquences négatives pour la classe ouvrière
245. Combattre le management participatif de l’intérieur et de l’extérieur
246. Aussi longtemps que l’exploitation existe, le patronat ne pourra éviter la lutte des classes
Chapitre 3. L’internationalisation de l’économie
31. Concentration et centralisation sur le plan international
311. Formes d’accumulation
312. Le cycle du capital
313. Pourquoi maintenant ?
314. L’économie globale
32. Exploitation patronale sans frontières
321. Stratégie mondiale des monopoles et des banques
322. La division internationale du travail
323. Conséquences catastrophiques pour les pays du tiers monde
324. La formation de blocs
325. Un Quatrième Reich en gestation ?
33. Le syndicat et l’internationalisation
331. Les internationales syndicales
332. Exportation du modèle de concertation
333. La farce de « l’Europe sociale »
34. L’internationalisme prolétarien
341. Un seul ennemi commun
342. La première tâche du syndicat, c’est de développer la conscience de classe
343. Les tâches anti-impérialistes
344. Non à l’Europe impérialiste, réactionnaire et allemande
345. Saisir les occasions
346. Trois dimensions
Chapitre 4. La composition de la classe ouvrière
41. Mutations réelles et fictives
411. La division du travail est internationale
412. Désindustrialisation ou intégration croissante de l’industrie et des services
413. Le rapprochement ouvriers-employés-fonctionnaires
414. Un large groupe de chômeurs de longue durée
42. Les patrons : fractionner pour accroître le taux général d’exploitation
421. Diviser à l’aide de statuts précaires
422. Faire… fondre le chômage
423. L’afflux de main-d’œuvre fraîche et bon marché
43. Combattre la « société duale » par la solidarité dans la misère ?
431. La CSC et la « société duale »
432. La représentation dans les PME
44. Le syndicalisme de classe
441. Le prolétariat industriel demeure l’avant-garde de la classe ouvrière
442. La formulation de revendications qui dépassent la division
443. Des structures syndicales adaptées
Deuxième partie Gagner les syndicats au syndicalisme de combat
Chapitre 5. Que font les révolutionnaires dans les syndicats ?
51. Parti et organisation de masse
511. Les ouvriers et autres travailleurs ont besoin de leur propre parti révolutionnaire
512. Les syndicats sont et restent les seules organisations qui encadrent l’ensemble de la classe travailleuse
513. La bourgeoisie se bat aussi pour sa vision dans le syndicat
514. La contradiction essentielle ne se situe pas entre la CSC et la FGTB
52. Opposition syndicale et nouveau syndicat
521. L’expérience historique de l’Opposition syndicale révolutionnaire
522. Un nouveau syndicat ?
523. Corporatisme en hausse ?
524. Délégués combatifs et révolutionnaires
53. L’indépendance syndicale
531. Marx, Lénine et l’indépendance syndicale
532. L’anarcho-syndicalisme en tant que courant historique
533. L’anarcho-syndicalisme dans le mouvement ouvrier belge
534. Les idées maîtresses de l’anarcho-syndicalisme
Chapitre 6. Le syndicalisme de classe ou syndicalisme de combat
61. Concepts de base du syndicalisme de classe
611. Lier la lutte économique et politique
612. Revendications à court et à long terme
613. Un front pour le progrès social, pour la démocratie, contre l’impérialisme et pour la paix
614. Avoir confiance dans les masses
62. La démocratie syndicale
621. Le lien entre programme et démocratie
622. Représentation à part entière de tous les groupes dans les structures syndicales
623. Élection démocratique des représentants syndicaux à tous les niveaux
624. Un travail militant démocratique et des assemblées générales
63. La lutte démocratique et antiraciste
631. La « démocratie politique » n’existe pas
632. La lutte pour les droits démocratiques
633. Liberté pour le syndicalisme de combat
634. Lutte irréductible contre toute forme de racisme, contre toute discrimination politique ou économique des immigrés
635. La lutte contre le fascisme
64. Lutte pour la paix et anti-impérialisme sont indissociables
641. La guerre du Golfe : voulue par les États-Unis
642. La direction de la FGTB refuse d’emboîter le pas aux manifestations pour la paix
643. La CSC se réfère aux positions de l’ACW et du MOC
Chapitre 7. La direction syndicale déchirée entre deux classes
71. Matérialisme historique, situation de classe et position de classe
711. L’aristocratie ouvrière
712. La situation de classe
713. La position de classe
72. Un jugement global
721. L’origine de classe
722. La situation de classe
723. La position de classe
73. Tenir compte de l’évolution
731. Penser à long terme
732. Pas d’illusions
733. Laisser une porte entrouverte
734. Gagner les masses
74. L’ensemble du syndicat appartient au front
741. L’expérience historique de la lutte contre les forces les plus à droite dans le front
742. Dans le front s’applique le principe d’unité-critique-unité