Dominique Meeùs
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Août 1914.
Œuvres, tome 21, pp 9‑13.
7. Les mots d’ordre de la social-démocratie doivent être actuellement :premièrement, […] ;
deuxièmement, propagande en faveur d’une république allemande, d’une république polonaise, d’une république russe et d’autres encore, et de la transformation de tous les États européens en États-Unis républicains d’Europe ; tel doit être l’un des mots d’ordre les plus immédiats ;
troisièmement, […].
(P. 12, ¾.)
Le Social-démocrate, novembre 1914.
Œuvres, tome 21, pp 19‑28.
« Le mot d’ordre politique immédiat de la social-démocratie d’Europe doit être la formation d’États-Unis républicains d’Europe. » Mais cela passe par le renversement des monarchies d’Allemagne, d’Autriche et de Russie. (P. 27, ½.)
Écrit de juillet à novembre 1914. Dictionnaire encyclopédique Granat (7e édition), tome 28, 1915. Aussi brochure en 1918.
Œuvres, tome 21, p. 37‑87.
39Préface
44La doctrine de Marx
Le marxisme est le système des idées et de la doctrine de Marx. Marx a continué et parachevé les trois principaux courants d’idées du 19e siècle, qui appartiennent aux trois pays les plus avancés de l’humanité : la philosophie classique allemande, l’économie politique classique anglaise et le socialisme français, lié aux doctrines révolutionnaires françaises en général. La logique et l’unité remarquables des idées de Marx (qualités reconnues même par ses adversaires), dont l’ensemble constitue le matérialisme et le socialisme scientifique contemporains en tant que théorie et programme du mouvement ouvrier de tous les pays civilisés, nous obligent à faire précéder l’exposé du contenu essentiel du marxisme, la doctrine économique de Marx, d’un bref aperçu de sa conception générale du monde.
On retrouve ici, c’est la première moitié de ce passage, « les trois sources ». En affirmant l’importance de la « conception générale du monde » de Marx, Lénine dit aussi que le « contenu essentiel », c’est l’économie.
44Le matérialisme philosophique
Marx était profondément matérialiste et il a peu pris la peine d’écrire là-dessus. Lénine cite la Sainte Famille et le « retournement » dialectique. Pour le reste, il cite surtout Engels comme partageant étroitement les idées de Marx. En outre (p. 46), critique de Hume (agnosticisme, criticisme, positivisme). Bon exposé (p. 47) de la différence entre le matérialisme dialectique et le matérialisme antérieur, en trois points :
[…] 1) ce matérialisme était « essentiellement mécaniste » et ne tenait pas compte du développement moderne de la chimie et de la biologie (de nos jours, il conviendrait d’ajouter encore : de la théorie électrique de la matière) ; 2) l’ancien matérialisme n’était ni historique ni dialectique (mais métaphysique dans le sens d’antidialectique) et n’appliquait pas le point de vue de l’évolution d’une façon systématique et généralisée ; 3) il concevait l’ « être humain » comme une abstraction et non comme « l’ensemble de tous les rapports sociaux » (concrètement déterminés par l’histoire), et ne faisait par conséquent qu’ « interpréter » le monde alors qu’il s’agissait de le « transformer », c’est-à-dire qu’il ne saisissait pas la portée de l’ « activité pratique révolutionnaire ».
47La dialectique
Plus encore ici, Lénine ne cite qu’Engels, y compris la dialectique de la nature.
49La conception matérialiste de l’histoire
52La lutte des classes
54La doctrine économique de Marx
54La valeur
56La plus—value
58L’accumulation du capital
59La tendance historique de l’accumulation capitaliste
61Le taux moyen du profit
62La théorie de la rente foncière
63L’évolution du capitalisme dans l’agriculture
66Le socialisme
69La tactique de la lutte de classe du prolétariat
75Bibliographie
Le Social-démocrate, mars 1915.
Œuvres, tome 21, pp 157‑163.
Mais, par ailleurs, les social-démocrates ne sauraient nier la valeur positive des guerres révolutionnaires, c’est-à-dire de guerres non impérialistes, telles que celles menées de 1789 à 1871 pour le renversement de l’oppression nationale et la création, à partir d’États féodaux morcelés, d’États capitalistes nationaux […] (P. 161‑162.)
Le Social-démocrate, août 1915.
Œuvres, tome 21, pp 351‑356.
Les transformations politiques dans un sens véritablement démocratique, et à plus forte raison les révolutions politiques, ne peuvent jamais, en aucun cas, quelles que soient les conditions, ni estomper, ni affaiblir le mot d’ordre de la révolution socialiste. (P. 351, bas.)
Rédigé en janvier-février 1916. Publié en avril 1916.
Œuvres, tome 22, pp 155‑170.
155 1. L’impérialisme, le socialisme et la libération des nations opprimées
156 2. La révolution socialiste et la lutte pour la démocratie
158 3. La signification du droit des nations à disposer d’elles-mêmes et son rapport avec la fédération
Il faut revendiquer la libération des nations opprimées, on ne peut pas « ajourner » la question jusqu’à l’avènement du socialisme. La fusion des nations passe par leur libération et leur droit à la séparation.
160 4. Comment le prolétariat révolutionnaire doit poser le problème du droit des nations à disposer d’elles-mêmes
162 5. Le marxisme et le proudhonisme dans la question nationale
163 6. Trois types de pays par rapport au droit des nations à disposer d’elles-mêmes
165 7. Le social-chauvinisme et le droit des nations à disposer d’elles-mêmes
166 8. Les tâches concrètes du prolétariat dans le proche avenir
167 9. L’attitude de la social-démocratie russe et polonaise et de la 2e internationale envers le droit des nations à disposer d’elles-mêmes
Février-mars 1916.
Œuvres, tome 22, pp 183‑194.
[…] les socialistes, d’une manière générale, sont favorables à la suppression des frontières entre les nations et à la formation d’États plus importants […] (P. 189, ⅔.)
Rédigé de janvier à juin 1916. Publié pour la première fois en 1917.
Œuvres, tome 22, pp 201‑327.
203 Préface
205 Préface aux éditions française et allemande
213 I. La concentration de la production et les monopoles
228 II. Les banques et leur nouveau rôle
245 III. Le capital financier et l’oligarchie financière
260 IV. L’exportation des capitaux
265 V. Le partage du monde entre les groupements capitalistes
274 VI.Le partage du monde entre les grandes puissances
286 VII. L’impérialisme, stade particulier de capitalisme
297 VIII. Le parasitisme et la putréfaction du capitalisme
« Telles sont les possibilités que nous offre une plus large alliance des États d’Occident, une fédération européenne des grandes puissances : loin de faire avancer la civilisation universelle, elle pourrait signifier un immense danger de parasitisme occidental aboutissant à constituer un groupe à part de nations industrielles avancées, dont les classes supérieures recevraient un énorme tribut de l’Asie et de l’Afrique et entretiendraient, à l’aide de ce tribut, de grandes masses domestiquées d’employés et de serviteurs, non plus occupées à produire en grandes quantités des produits agricoles et industriels, mais rendant des services privés ou accomplissant, sous le contrôle de la nouvelle aristocratie financière, des travaux industriels de second ordre. » (Lénine cite Hobson. P. 302, ¼.)
L’auteur a parfaitement raison : si les forces de l’impérialisme ne rencontraient pas de résitance, elles aboutiraient précisément à ce résultat. (P. 303, haut.)
L’opportuniste allemand Gerhard Hildebrand, qui fut en son temps exclu du parti pour avoir défendu l’impérialisme et qui pourrait être aujourd’hui le chef du parti dit « social-démocrate » d’Allemagne, complète fort bien Hobson en préconisant la formation des « États-Unis d’Europe occidentale (sans la Russie) en vue d’actions « communes »… contre les Noirs d’Afrique, contre le « grand mouvement islamique », pour l’entretien « d’une armée et d’une flotte puissantes » contre la « coalition sino-japonaise », etc. (P. 303, ½.)
307 IX. La critique de l’impérialisme
322 X. La place de l’impérialisme dans l’histoire
Rédigé d’août à octobre 1916. Publié pour la première fois en 1924.
Œuvres, tome 23, pp 27‑83.
29 1. L’attitude marxiste au sujet des guerres et de la « défense de la patrie »
36 2. « Notre conception de la nouvelle époque »
De fait, pour les grandes nations de l’Europe de l’Ouest, l’époque des luttes nationales, de la formation des États modernes est celle de 1789‑1871. Ça ne veut pas dire qu’il ne peut plus y avoir de lutte de libération nationale et que seules sont possibles des guerres impérialistes dans la « nouvelle époque » présente. Une « époque » n’est pas une détermination absolue.
En fait, il y a « trois types différents de pays : les pays avancés de l’Europe de l’Ouest (et de l’Amérique), où le mouvement national appartient au passé […] l’Europe de l’Est, où il appartient au présent [… et] les semi-colonies et les colonies où il appartient, dans une large mesure à l’avenir ». (« La révolution socialiste et le droit des nations à disposer d’elles-mêmes », thèse 6. C’est Lénine qui souligne.)
41 3. Qu’est-ce que l’analyse économique ?
À propos de « l’impossibilité de réalisation », il ne faut pas mélanger l’économique et le politique. En gros, l’impérialisme c’est, économiquement, le passage de la libre concurrence au monopole et, politiquement, de la démocratie à la réaction (et pas seulement en politique extérieure). L’impérialisme peut conquérir économiquement de nouveaux marchés, sans annexions.
50 4. L’exemple de la Norvège
Le fait que la séparation soit contraire au développement ne la rend pas économiquement impossible. Politiquement, il faut défendre le droit des nations à la libre disposition.
58 5. Du « monisme » et du « dualisme »
Dans le couple nation oppressive/nation opprimée, la différence objective de situation, la ligne de masse et l’unité imposent de tenir deux discours différents.
Le développement inégal du capitalisme exclut d’attendre une révolution mondiale simultanée. Il y a convergence de la révolution socialiste dans les pays développés et de la révolution nationale et démocratique dans les pays moins avancés.
69 6. Les autres questions politiques abordées et dénaturées par P. Kievski
Seuls les « économistes » de triste mémoire pensaient que les « mots d’ordre d’un parti ouvrier » étaient proclamés exclusivement à l’intention des ouvriers. Non, ces mots d’ordre sont proclamés pour l’ensemble de la population laborieuse, pour le peuple tout entier. Dans la partie démocratique de notre programme, à l’importance de laquelle P. Kievski n’a « pas du tout » réfléchi, nous nous adressons spécialement au peuple tout entier, et c’est pourquoi nous y parlons du « peuple ». (P. 69, ⅔.)
Prolétariat des pays moins développés. Pour l’unité et le droit à la libre disposition.
Bien entendu, il est infiniment plus probable que même dans les petits États le socialisme ne se réalisera pas sans guerre civile, et c’est pourquoi l’unique programme de la social-démocratie internationale doit être la reconnaissance de cette guerre, bien que dans notre idéal il n’y ait pas de place pour la violence à l’égard des hommes. (P. 75, ½.)
La différence entre les mots d’ordre « niant » ou stigmatisant les tares politiques et ceux relatifs aux tares économiques a complètement échappé à P. Kievski. Cette différence est que certaines tares économiques sont inhérentes au capitalisme en général, quelles que soient les superstructures politiques dont il est coiffé, qu’anéantir ces tares sans anéantir le capitalisme est économiquement impossible et qu’on ne petit citer aucun exemple prouvant le contraire. Par contre, les tares politiques consistent dans des atteintes au démocratisme, qui est parfaitement possible, du point de vue économique, « sur la base du régime existant », c’est-à-dire à l’époque du capitalisme, et qui se réalise sous ce régime, à titre exceptionnel, partiellement dans un État, partiellement dans un autre. (P. 78, ¼.)
Comparaison avec le divorce (p. 78 ½) et autres droits démocratiques. Différence entre un droit démocratique et les conditions de son exercice (p. 79, haut). Utilité de la démocratie et nécessité de lutter pour les droits démocratiques avant la révolution socialiste.
Cette objection atteste l’incompréhension la plus totale du rapport entre la démocratie en général et le capitalisme. Ce qui est habituel en régime capitaliste, non pas en tant que cas isolés, mais en tant que phénomène typique, ce sont des conditions qui rendent impossible aux classes opprimées la « réalisation » de leurs droits démocratiques. Dans la majorité des cas, le droit au divorce demeure irréalisable en régime capitaliste, car le sexe opprimé y est économiquement écrasé, car la femme, en régime capitaliste, demeure, quel que soit le système de démocratie, une « esclave domestique », confinée dans la chambre à coucher, la chambre des enfants, la cuisine. Le droit d’élire « ses » juges populaires, « ses » fonctionnaires, « ses » instituteurs, « ses » jurés, etc., est également dans la majorité des cas irréalisable en régime capitaliste, du fait précisément de l’oppression économique qui pèse sur les ouvriers et les paysans. Même chose pour la république démocratique : notre programme la « proclame », en tant qu’« autocratie du peuple » bien que tous les social-démocrates sachent parfaitement que la république la plus démocratique, en régime capitaliste, ne mène qu’à la corruption des fonctionnaires par la bourgeoisie et à une alliance entre la Bourse et le gouvernement. (P. 79, &fract14;.)
Seuls des gens absolument dépourvus de réflexions ou absolument ignorants du marxisme en tirent cette conclusion : ainsi donc, la république ne sert à rien, la liberté du divorce ne sert à rien, la démocratie ne sert à rien, la libre disposition des nations ne sert à rien ! Les marxistes, eux, savent que la démocratie n’élimine pas l’oppression de classe, mais rend seulement la lutte des classes plus claire, plus ample, plus ouverte, plus accusée ; c’est ce qu’il nous faut. Plus la liberté du divorce est complète, et plus il est évident pour la femme que la source de son « esclavage domestique » est le capitalisme, et non l’absence de droits. Plus le régime est démocratique, et plus il est évident pour les ouvriers que l’origine du mal est le capitalisme, et non l’absence de droits. Plus l’égalité en droit des nations est complète (et elle n’est pas complète sans la liberté de séparation), et plus il est évident pour les ouvriers de la nation opprimée que tout tient au capitalisme, et non à l’absence de droits. Et ainsi de suite. (Pp 79‑80.)
Toute la « démocratie » consiste dans la proclamation et dans la réalisation de « droits » difficilement réalisables et d’une façon très conditionnelle en régime capitaliste ; mais sans cette proclamation, sans que la lutte pour les droits soit menée immédiatement et sans délai, sans que les masses soient éduquées dans l’espoir d’une telle lutte, le socialisme est impossible. (pp 80‑81.)
En fait, son argumentation [à P. Kievski] se ramène à ceci : la révolution socialiste résoudra tout ! Ou, comme le disent parfois les partisans des conceptions de P. Kievski : en régime capitaliste, la libre disposition est impossible, en régime socialiste, elle est superflue.
C’est là une conception absurde du point de vue théorique, et chauvine du point de vue de la politique pratique. L’adopter, c’est ne rien comprendre à la signification de la démocratie. Le socialisme est impossible sans la démocratie dans les deux sens suivants : (1) le prolétariat ne peut pas accomplir la révolution socialiste s’il ne s’y prépare pas en luttant pour la démocratie ; (2) le socialisme victorieux ne pourra pas maintenir sa victoire et conduire l’humanité vers le dépérissement de l’État sans réaliser complètement la démocratie. C’est pourquoi, lorsqu’on dit : la libre disposition est superflue en régime socialiste, on énonce la même absurdité, on tombe dans la même déplorable confusion que si l’on disait : en régime socialiste, la démocratie est superflue. (P. 81, ¼.)
La révolution économique crée les prémisses indispensables à l’abolition de toutes les formes d’oppression politique. C’est pourquoi précisément il est illogique et erroné d’invoquer la révolution économique alors que la question posée est celle de savoir comment anéantir l’oppression nationale. On ne peut l’anéantir sans révolution économique. C’est incontestable. Mais se contenter de cette affirmation, c’est tomber dans un ridicule et lamentable « économisme » impérialiste. (P. 81, ¾.)
82 7. Conclusion. Les procédés d’Alexinski
Tout le reste [de P. Kievski] est une espèce de confusion inextricable, truffée de phrases dans le genre de : […] « Ce n’est pas de chartes et de droits qu’il s’agira, ni de la proclamation de la liberté des peuples, mais de l’instauration de rapports véritablement libres, de la destruction de l’esclavage séculaire, de l’abolition de l’oppression sociale en général et de l’oppression nationale en particulier ». (P. 82 ½.)
Rédigé en septembre 1916. Publié en septembre 1917.
Œuvres, tome 23, pp 84‑96.
Guerres justes, guerres injustes.
Le socialisme dans un seul pays (p. 86, ½).
« Toute guerre n’est que la continuation de la politique par d’autres moyens. » (p. 87, l. –9.)
Rédigé en octobre 1916. Publié en décembre 1916.
Œuvres, tome 23, pp 116‑132.
Le social-libéral Hobson ne voit pas que cette « résistance » [à une alliance impérialiste européenne] ne peut être opposée que par le prolétariat révolutionnaire, et seulement sous la forme d'une révolution sociale. (P. 121, ⅓.)
Sur la base économique de l’aristocratie ouvrière (p. 126, « Deuxièmement. »)
« […] les institutions politiques du capitalisme moderne — la presse, le Parlement, les syndicats, les congrès, etc. — […] » (p. 129, l. 1). En disant « institutions » Lénine considère-t-il que cela fait partie de l’État ? Comparer « appareils idéologiques d’État » chez Althusser et d’autres.
Rédigé fin octobre, début novembre 1916. Publié en 1918 en brochure en français.
Œuvres, tome 23, pp 150‑162.
151 I. Attitude envers la guerre et le gouvernement bourgeois en général
152 II. Cherté de la vie et situation économique intolérable des masses
155 III. Réformes démocratiques particulièrement urgentes et utilisation de la lutte politique et du parlementarisme
17. Égalité de droits pour les femmes.
18. Naturalisation obligatoire et gratuite après trois mois de séjour.
156 IV. Objectifs immédiats de la propagande, de l’agitation et de l’organisation du parti
160 V. Tâches internationales des social-démocrates suisses
(« Thèses d’avril ») avril 1917.
Œuvres, tome 24, pp 9‑16.
Rédigé en août-septembre 1917 et en décembre 1918.
Œuvres, tome 25, pp 413‑531.
415 Préface à la première édition
416 Préface à la deuxième édition
417 Chapitre premier. La société de classes et l'État
417 1. L'État, produit de contradictions de classes inconciliables
420 2. Détachements spéciaux d'hommes armés, prisons, etc.
424 3. L'État, instrument d'exploitation de la classe opprimée
427 4. « Extinction » de l'État et révolution violente
434 Chapitre II. L'État et la révolution. L'expérience des années 1848-1851
434 1. La veille de la révolution
438 2. Le bilan d'une révolution
444 3. Comment Marx posait la question en 1852
447 Chapitre III. L'État et la révolution. L'expérience de la commune de Paris (1871). Analyse de Marx
447 1. En quoi la tentative des Communards est-elle héroïque ? 447
451 2. Par quoi remplacer la machine d'État démolie ?
456 3. Suppression du parlementarisme
462 4. Organisation de l'Unité de la Nation
465 5. Destruction de l'État parasite
468 Chapitre IV. Suite. Explications complémentaires d'Engels
468 1. La « Question du logement » 468
471 2. Polémique avec les anarchistes
475 3. Lettre à Bebel
478 4. Critique du projet de programme d'Erfurt
485 5. La Préface de 1891 à la Guerre civile de Marx
491 6. Engels et le dépassement de la démocratie
494 Chapitre V. Les bases économiques de l'extinction de l'État
494 1. Comment Marx pose la question
496 2. La transition du capitalisme au communisme
502 3. Première phase de la société communiste
505 4. Phase supérieure de la société communiste
513 Chapitre VI. L'avilissement du marxisme par les opportunistes
513 1. Polémique de Plékhanov avec les anarchistes
515 2. Polémique de Kautsky avec les opportunistes
522 3. Polémique de Kautsky avec Pannekoek
531 Postface de la première édition