Dominique Meeùs
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Alle diese „geheiligten Güter“ „darf“ Stirner in entwickelten Ländern zwar nicht „dem Menschen als solchen“, aber doch den wirklichen Menschen nehmen, natürlich auf dem Wege und innerhalb der Bedingungen der Konkurrenz. Die große Umwälzung der Gesellschaft durch die Konkurrenz, die die Verhältnisse der Bourgeois untereinander und zu den Proletariern in reine Geldverhältnisse auflöste, sämtliche obengenannte „geheiligte Güter“ in Handelsartikel verwandelte und für die Proletarier alle naturwüchsigen und überkommenen, z. B. Familien- und politische Verhältnisse nebst ihrem ganzen ideologischen Überbau zerstörte — diese gewaltige Revolution ging allerdings nicht von Deutschland aus; Deutschland spielte in ihr nur eine passive Rolle, es ließ sich seine geheiligten Güter nehmen und bekam nicht einmal den kuranten Preis dafür. Unser deutscher Kleinbürger kennt daher nur die heuchlerischen Beteuerungen der Bourgeois über die moralischen Grenzen der Konkurrenz der Bourgeois, die die „geheiligten Güter“ der Proletarier, ihre „Ehre“, „Schamgefühl“, „Freiheit der Person“ täglich mit Füßen treten und ihnen selbst den Religionsunterricht entziehen. Diese vorgeschützten „moralischen Grenzen“ gelten ihm für den wahren „Sinn" der Konkurrenz, und ihre Wirklichkeit existiert nicht für ihren Sinn.
Stirner « peut » prendre tous ces « biens sacrés » dans les pays développés, non pas « à l’homme en tant que tel », mais aux hommes réels, naturellement par la voie et dans les conditions de la concurrence. Le grand bouleversement de la société par la concurrence, qui a dissous les rapports des bourgeois entre eux et avec les prolétaires dans des rapports purement monétaires, qui a transformé tous les « biens sacrés » susmentionnés en articles de commerce et qui a supprimé pour les prolétaires toutes les conditions naturelles et héritées, par exemple familiales et politiques, ainsi que toute leur superstructure idéologique — cette immense révolution n’est cependant pas partie de l’Allemagne ; l’Allemagne n’y a joué qu’un rôle passif, elle s’est laissée dépouiller de ses biens sacrés et n’en a même pas reçu le prix. Notre petit bourgeois allemand ne connaît donc que les affirmations hypocrites des bourgeois sur les limites morales de la concurrence des bourgeois, qui foulent quotidiennement aux pieds les « biens sacrés » des prolétaires, leur « honneur », leur « pudeur », leur « liberté de la personne », et leur retirent même l’enseignement religieux. Ces « limites morales » préservées valent pour lui pour le véritable « sens » de la concurrence, et sa réalité n’existe pas pour son sens.