Dominique Meeùs
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Rédigé de janvier à juin 1916. Publié pour la première fois en 1917. Œuvres, tome 22, p. 201‑327.
203 Préface
205 Préface aux éditions française et allemande
213 I. La concentration de la production et les monopoles
228 II. Les banques et leur nouveau rôle
245 III. Le capital financier et l’oligarchie financière
260 IV. L’exportation des capitaux
265 V. Le partage du monde entre les groupements capitalistes
274 VI.Le partage du monde entre les grandes puissances
286 VII. L’impérialisme, stade particulier de capitalisme
297 VIII. Le parasitisme et la putréfaction du capitalisme
« Telles sont les possibilités que nous offre une plus large alliance des États d’Occident, une fédération européenne des grandes puissances : loin de faire avancer la civilisation universelle, elle pourrait signifier un immense danger de parasitisme occidental aboutissant à constituer un groupe à part de nations industrielles avancées, dont les classes supérieures recevraient un énorme tribut de l’Asie et de l’Afrique et entretiendraient, à l’aide de ce tribut, de grandes masses domestiquées d’employés et de serviteurs, non plus occupées à produire en grandes quantités des produits agricoles et industriels, mais rendant des services privés ou accomplissant, sous le contrôle de la nouvelle aristocratie financière, des travaux industriels de second ordre. » (Lénine cite Hobson. P. 302, ¼.)
L’auteur a parfaitement raison : si les forces de l’impérialisme ne rencontraient pas de résitance, elles aboutiraient précisément à ce résultat. (P. 303, haut.)
L’opportuniste allemand Gerhard Hildebrand, qui fut en son temps exclu du parti pour avoir défendu l’impérialisme et qui pourrait être aujourd’hui le chef du parti dit « social-démocrate » d’Allemagne, complète fort bien Hobson en préconisant la formation des « États-Unis d’Europe occidentale (sans la Russie) en vue d’actions « communes »… contre les Noirs d’Afrique, contre le « grand mouvement islamique », pour l’entretien « d’une armée et d’une flotte puissantes » contre la « coalition sino-japonaise », etc. (P. 303, ½.)
307 IX. La critique de l’impérialisme
322 X. La place de l’impérialisme dans l’histoire