Dominique Meeùs
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p. 139Les titres de propriété sur des sociétés, des chemins de fer, des mines, etc., sont, nous l’avons vu également, en fait, sans doute des titres sur du capital réel. Mais ils ne permettent pas de disposer de celui—ci. Il ne peut être retiré. Les titres établissent seulement des droits sur une fraction de la plus-value qu’il va s’approprier. Mais ces titres se transforment eux aussi en duplicata du capital réel, en chiffons de papier, comme si un certificat de chargement pouvait avoir une valeur à côté du chargement, et en même temps que lui. Ils se transforment en représentants nominaux de capitaux qui n’existent pas. Car le capital réel existe à côté d’eux et ne change absolument pas de mains, si ces duplicata passent d’une main dans une autre. Ils se métamorphosent en formes du capital productif d’intérêt, non seulement parce qu’ils assurent certaines recettes, mais aussi parce qu’en les vendant on peut obtenir qu’ils soient remboursés en valeurs-capital. Dans la mesure où l’accumulation de ces titres traduit l’accumulation de chemins de fer, mines, bateaux à vapeur, etc., c’est l’expansion du procès de reproduction réel qu’elle exprime — tout à fait à la façon dont l’extension d’une feuille d’impôts, par exemple, relatifs à des biens mobiliers, témoigne de l’augmentation de ces biens mobiliers. Mais en tant que duplicata, négociables eux-mêmes comme marchandises et circulant donc comme valeurs-capital, leur valeur est fictive : elle peut augmenter ou diminuer tout à fait indépendamment du mouvement de valeur du capital réel, sur lesquels leurs détenteurs ont un droit. Leur valeur, c’est-à-dire leur cotation en bourse, a nécessairement tendance à augmenter avec la baisse du taux de l’intérêt, dans la mesure où celle—ci est une conséquence toute simple de la chute tendancielle du taux de profit, indépendamment des variations propres du capital-argent : voilà pourquoi cette richesse imaginaire, dont la valeur nominale primitive est déterminée pour chacune de ses fractions aliquotes en ce qui concerne son expression de valeur, p. 140augmente, ne serait—ce que pour cette raison, au fur et à mesure du développement de la production capitaliste.
Gains et pertes par suite des fluctuations de prix de ces titres, ainsi que leur centralisation entre les mains de rois de chemins de fer, etc., seront — ainsi le veut la nature des choses — de plus en plus le résultat de la spéculation, qui apparaît au lieu et place du travail comme le mode originel d’acquérir du capital et qui remplace aussi la violence directe. Cette espèce de richesse financière imaginaire ne constitue pas seulement une partie fort importante de la fortune des particuliers : c’est aussi, nous l’avons vu, une portion notable du capital du banquier.
[Een groot deel van het overtollige kapitaal wordt fictief, met een denkbeeldige waarde.] Als kopieën die zelf kunnen verhandeld worden en dus als waarde-kapitaal kunnen circuleren, hebben ze een fictieve waarde : ze kunnen volledig onafhankelijk van de evolutie van de waarde van de werkelijke [economie], stijgen of dalen […].
Winst en verlies als gevolg van de prijsschommelingen van deze titels […] zullen […] steeds meer het resultaat zijn van speculatie […]. Dit soort ingebeelde financiële rijkdom vormt niet alleen een belangrijk deel van het fortuin van privé-personen maar het vormt ook een aanzienlijk deel van het bankierskapitaal.
Mots-clefs : ❦ crédit ❦ crédit, resserrement du — ❦ plein emploi du capital industriel ❦ limites de la consommation ❦ crise de surproduction ❦ krach ❦ surabondance de capital industriel ❦ excès de capital ❦ capital inemployé ❦ confiance (crédit) ❦ demande de crédit ❦ pénurie de crédit ❦ taux d’escompte ❦ pauvreté et limitation de la consommation des masses, fondement des crises ❦ développement sans limite des forces productives
p. 499⅞Das Maximum des Kredits ist hier gleich der vollsten Beschäftigung des industriellen Kapitals, d.h. der äußersten Anspannung seiner Reproduktionskraft ohne Rücksicht auf die Grenzen der Konsumtion. Diese Grenzen der Konsumtion werden erweitert durch die Anspannung des Reproduktionsprozesses selbst; einerseits vermehrt sie den Verzehr von Revenue durch Arbeiter und Kapitalisten, andrerseits ist sie identisch mit Anspannung der produktiven Konsumtion. |
p. 144 ⅝Le crédit maximum est ici égal au plein emploi maximum du capital industriel, c’est-à-dire représente la tension extrême de sa capacité de reproduction sans tenir compte des limites de la consommation. Ces dernières sont élargies par la tension du procès de reproduction lui-même ; d’une part, celle-ci augmente la dépense de revenu par les ouvriers et les capitalistes ; d’autre part, elle est identique à la tension de la consommation productive. |
Het maximale krediet is hier gelijk aan de volledige inzet van het industriekapitaal, d.w.z. de uiterste inzet van zijn reproductieve kracht zonder inachtneming van de limieten der consumptie. De consumptieve grenzen worden verlegd door de concentratie van het reproductieproces zelf; enerzijds vermeerdert zij het verbruik van de inkomsten door arbeiders en kapitalisten, anderzijds is zij identiek met de concentratie van de productieve consumptie. |
The maximum of credit is here identical with the fullest employment of industrial capital, that is, the utmost exertion of its reproductive power without regard to the limits of consumption. These limits of consumption are extended by the exertions of the reproduction process itself. On the one hand, this increases the consumption of revenue on the part of labourers and capitalists, on the other hand, it is identical with an exertion of productive consumption. |
p. 500Solange der Reproduktionsprozeß flüssig und damit der Rückfluß gesichert bleibt, dauert dieser Kredit und dehnt sich aus, und seine Ausdehnung ist basiert auf die Ausdehnung des Reproduktionsprozesses selbst. Sobald eine Stockung eintritt, infolge verzögerter Rückflüsse, überführter Märkte, gefallner Preise, ist Überfluß von industriellem Kapital vorhanden, aber in einer Form, worin es seine Funktion nicht vollziehn kann. Masse von Warenkapital, aber unverkäuflich. Masse von fixem Kapital, aber durch Stockung der Reproduktion großenteils unbeschäftigt. Der Kredit kontrahiert sich, 1. weil dies Kapital unbeschäftigt ist, d.h. in einer seiner Reproduktionsphasen stockt, weil es seine Metamorphose nicht vollziehn kann; 2. weil das Vertrauen in die Flüssigkeit des Reproduktionsprozesses gebrochen ist; 3. weil die Nachfrage nach diesem kommerziellen Kredit abnimmt. Der Spinner, der seine Produktion einschränkt und eine Masse unverkauftes Garn auf Lager hat, braucht keine Baumwolle auf Kredit zu kaufen; der Kaufmann braucht keine Waren auf Kredit zu kaufen, weil er deren schon mehr als genug hat. |
Tant que le procès de reproduction poursuit son cours, continuant d’assurer par là le reflux de capital, il y a permanence et extension de ce crédit, et celle-ci repose sur l’extension du procès de reproduction lui-même. Dès que survient un arrêt, par suite de retard dans les retours, d’engorgement des marchés, de chutes de prix, il y a surabondance de capital industriel, mais existant sous une forme telle qu’il ne peut accomplir ses fonctions. Une masse de capitaux-marchandises, mais invendables. Une masse de capital fixe, mais inemployé en majeure partie par suite de l’arrêt de la reproduction. Il se produit un resserrement du crédit : 1o parce que ce capital est inemployé, c’est-à-dire reste bloqué dans une de ses phases de reproduction, parce qu’il ne peut accomplir sa métamorphose ; 2o parce que la confiance dans le cours régulier du procès de reproduction est brisée ; 3o parce que diminue la demande de ce crédit commercial. Le filateur qui réduit sa production et possède une p. 145masse de filés invendus en stock n’a pas besoin d’acheter du coton à crédit ; le commerçant n’a pas besoin d’acheter des marchandises à crédit, car il en a plus qu’il ne lui en faut. |
Zolang het reproductieproces voortduurt en zo de terugvloeiing verzekerd is, is er krediet en breidt dit zich uit en zijn uitbreiding is gebaseerd op de uitbreiding van het reproductieproces zelf. Zodra er een stagnatie is, als gevolg van een trage terugvloeiing, verzadigde markten, gedaalde prijzen, is er overvloedig industriekapitaal voorhanden, maar in een vorm waarin het niet functioneel kan zijn. Een massa warenkapitaal, maar onverkoopbaar. Een massa vast kapitaal, maar door de stilstand van de reproductie grotendeels werkloos. Het krediet trekt zich samen, 1. omdat dit kapitaal werkloos is, d.w.z. in één van zijn reproductiefasen hapert omdat het zijn metamorfose niet kan voltooien; 2. omdat het vertrouwen in de continuïteit van het reproductieproces verbroken is; 3. omdat de vraag naar dit handelskrediet vermindert. De spinner, die zijn productie verlaagt en een grote massa onverkocht garen in stock heeft, moet geen katoen op krediet kopen; de handelaar moet geen waren op krediet kopen, want hij heeft er meer dan genoeg van. |
As long as the reproduction process is continuous and, therefore, the return flow assured, this credit exists and expands, and its expansion is based upon the expansion of the reproduction process itself. As soon as a stoppage takes place, as a result of delayed returns, glutted markets, or fallen prices, a superabundance of industrial capital becomes available, but in a form in which it cannot perform its functions. Huge quantities of commodity-capital, but unsaleable. Huge quantities of fixed capital, but largely idle due to stagnant reproduction. Credit is contracted 1) because this capital is idle, i.e., blocked in one of its phases of reproduction because it cannot complete its metamorphosis; 2) because confidence in the continuity of the reproduction process has been shaken; 3) because the demand for this commercial credit diminishes. The spinner, who curtails his production and has a large quantity of unsold yarn in stock, does not need to buy any cotton on credit; the merchant does not need to buy any commodities on credit because he has more than enough of them. |
Tritt also Störung in dieser Expansion oder auch nur in der normalen Anspannung des Reproduktionsprozesses ein, so damit auch Kreditmangel; Waren sind schwerer auf Kredit zu erhalten. Besonders aber ist das Verlangen nach barer Zahlung und die Vorsicht im Kreditverkauf charakteristisch für die Phase des industriellen Zyklus, die auf den Krach folgt. In der Krisis selbst, da jeder zu verkaufen hat und nicht verkaufen kann und doch verkaufen muß, um zu zahlen, ist die Masse, nicht des unbeschäftigten, unterzubringenden Kapitals, sondern die des in seinem Reproduktionsprozeß gehemmten Kapitals gerade dann am größten, wenn auch der Kreditmangel am größten ist (und daher bei Bankierkredit die Diskontorate am höchsten). Das schon ausgelegte Kapital ist dann in der Tat massenweis unbeschäftigt, weil der Reproduktionsprozeß stockt. Fabriken stehn still, Rohstoffe häufen sich auf, fertige Produkte überfüllen als Waren den Markt. Es ist also nichts falscher, als solchen Zustand einem Mangel an produktivem Kapital zuzuschreiben. Es ist gerade dann Überfluß von produktivem Kapital vorhanden, teils in bezug auf den normalen, aber augenblicklich kontrahierten Maßstab der Reproduktion, teils in bezug auf die gelähmte Konsumtion. |
Si donc une interruption se produit dans cette expansion, ou même seulement s’il y a rupture de la tension normale du procès de reproduction, il s’ensuit une pénurie de crédit ; il devient plus difficile d’obtenir des marchandises à crédit. Mais la demande de paiement en espèces et la prudence dans la vente à crédit sont particulièrement caractéristiques de la phase du cycle industriel qui succède au krach. Pendant la crise elle-même, chacun ayant quelque chose à vendre, mais ne pouvant le faire et étant pourtant obligé de vendre pour payer, la masse du capital qui est alors précisément la plus considérable, ce n’est pas celle du capital inemployé ou à caser, mais celle du capital gêné dans son procès de reproduction, bien que la pénurie de crédit soit la plus forte (et partant le taux d’escompte du crédit bancaire le plus élevé). Le capital déjà investi est alors, en fait, massivement inemployé, parce que le procès de reproduction est stoppé. Des usines sont arrêtées, les matières premières s’accumulent, les produits finis saturent le marché sous forme de marchandises. Il n’est donc rien de plus faux que d’attribuer pareille situation à un manque de capital productif. Il y a alors précisément excès de capital productif, soit par rapport à l’échelle normale, mais pour l’instant réduite, de la reproduction, soit par rapport à la paralysie de la consommation. |
Is er dus een verstoring in deze expansie of zelfs in het normale verloop van het reproductieproces, is er ook een kredietschaarste; waren zijn moeilijker op krediet te verkrijgen. Maar kenmerkend in deze fase van de industriële cyclus, onmiddellijk na de crisis, is vooral het verlangen naar contante betalingen en voorzichtigheid met de verkoop op krediet. Tijdens de crisis zelf, daar iedereen wil verkopen en niet kan verkopen en toch verkopen moet om te kunnen betalen, is het niet de hoeveelheid werkloos en te investeren kapitaal, maar het kapitaal gehinderd in zijn reproductieproces het grootste, net wanneer de kredietschaarste het grootst is (en daarom de discontovoet het hoogst voor bankkredieten). Het reeds geïnvesteerde kapitaal is dan in feite bij hopen werkloos, omdat het reproductieproces vastloopt. Fabrieken vallen stil, grondstoffen stapelen zich op, afgewerkte producten overstelpen de markt als waren. Het is dus heel fout een dergelijke toestand te wijten aan een tekort van productiekapitaal. Er is juist dan overvloedig productief kapitaal voorhanden, deels met betrekking tot de normale, maar direct gereduceerde reproductie, deels met betrekking tot de verlamde consumptie. |
Hence, if there is a disturbance in this expansion or even in the normal flow of the reproduction process, credit also becomes scarce; it is more difficult to obtain commodities on credit. However, the demand for cash payment and the caution observed toward sales on credit are particularly characteristic of the phase of the industrial cycle following a crash. During the crisis itself, since everyone has products to sell, cannot sell them, and yet must sell them in order to meet payments, it is not the mass of idle and investment-seeking capital, but rather the mass of capital impeded in its reproduction process, that is greatest just when the shortage of credit is most acute (and therefore the rate of discount highest for banker’s credit). The capital already invested is then, indeed, idle in large quantities because the reproduction process is stagnant. Factories are closed, raw materials accumulate, finished products flood the market as commodities. Nothing is more erroneous, therefore, than to blame a scarcity of productive capital for such a condition. It is precisely at such times that there is a superabundance of productive capital, partly in relation to the normal, but temporarily reduced scale of reproduction, and partly in relation to the paralysed consumption. |
Denken wir uns die ganze Gesellschaft bloß aus industriellen Kapitalisten und Lohnarbeitern zusammengesetzt. Sehn wir ferner ab von den Preiswechseln, die große Portionen des Gesamtkapitals hindern, sich in ihren Durchschnittsverhältnissen zu ersetzen, und die, bei dem allgemeinen Zusammenhang des ganzen Reproduktionsprozesses, wie ihn namentlich der p. 501Kredit entwickelt, immer zeitweilige allgemeine Stockungen hervorbringen müssen. Sehn wir ab ebenfalls von den Scheingeschäften und spekulativen Umsätzen, die das Kreditwesen fördert. Dann wäre eine Krise nur erklärlich aus Mißverhältnis der Produktion in verschiednen Zweigen und aus einem Mißverhältnis, worin der Konsum der Kapitalisten selbst zu ihrer Akkumulation stände. Wie aber die Dinge liegen, hängt der Ersatz der in der Produktion angelegten Kapitale großenteils ab von der Konsumtionsfähigkeit der nicht produktiven Klassen ; während die Konsumtionsfähigkeit der Arbeiter teils durch die Gesetze des Arbeitslohns, teils dadurch beschränkt ist, daß sie nur solange angewandt werden, als sie mit Profit für die Kapitalistenklasse angewandt werden können. Der letzte Grund aller wirklichen Krisen bleibt immer die Armut und Konsumtionsbeschränkung der Massen gegenüber dem Trieb der kapitalistischen Produktion, die Produktivkräfte so zu entwickeln, als ob nur die absolute Konsumtionsfähigkeit der Gesellschaft ihre Grenze bilde. |
Imaginons que la société tout entière soit composée simplement de capitalistes industriels et d’ouvriers salariés. Laissons de côté, en outre, les fluctuations de prix qui empêchent que de grandes fractions de l’ensemble du capital ne se remplacent dans les conditions moyennes et qui, étant donné l’interdépendance générale de l’ensemble du procès de reproduction telle que la développe notamment le crédit, doivent nécessairement provoquer toujours des arrêts généraux momentanés. Faisons abstraction également des affaires fictives et des transactions spéculatives favorisées par le système de crédit. Alors une crise ne s’expliquerait que par le déséquilibre de la production dans diverses branches et par un déséquilibre entre la consommation des capitalistes eux-mêmes et leur accumulation. Mais dans l’état de choses existant, le remplacement des capitaux investis dans la production dépend pour la plus grande part de la capacité de consommation des classes improductives, tandis que la capacité de consommation des ouvriers est limitée en partie par les lois du salaire, en partie par le fait qu’on ne les emploie qu’aussi longtemps que leur utilisation profite à la classe capitaliste. La raison ultime de toute véritable crise demeure toujours la pauvreté et la limitation de la consommation des masses, en face de la tendance de la production capitaliste à développer les forces productives comme si elles n’avaient pour limite que la capacité de consommation absolue de la société. |
Stellen we ons een maatschappij voor met enkel industriële kapitalisten en loonarbeiders. We zien ook af van prijsveranderingen, die grote delen van het totale kapitaal verhinderen om zich te vervangen in hun gemiddelde verhouding en die, in de algemene relaties van het gehele reproductieproces, zoals ontwikkeld door het krediet, steeds tijdelijke algemene stagnaties moet voortbrengen. Zien we ook af van schijntransacties en speculatie, begunstigd door het kredietstelsel. Dan is een crisis enkel te verklaren uit een wanverhouding van de productie in de verschillende sectoren en uit de wanverhouding tussen de consumptie der kapitalisten en hun accumulatie. Maar zoals het er voor staat, hangt de vervanging van de in de productie geïnvesteerde kapitalen grotendeels af van de consumptiecapaciteit van de niet-productieve klassen; terwijl de consumptiecapaciteit van de arbeiders beperkt is, deels door de loonwetten en deels doordat ze alleen worden ingezet als ze winstgevend zijn voor de kapitalistische klasse. De ultieme reden van alle reële crisissen blijft de armoede en consumptiebeperking van de massa’s tegenover de tendens van de kapitalistische productie de productiekrachten zodanig te ontwikkelen alsof alleen de absolute consumptiecapaciteit van de maatschappij de grens is. |
Let us suppose that the whole of society is composed only of industrial capitalists and wage-workers. Let us furthermore disregard price fluctuations, which prevent large portions of the total capital from replacing themselves in their average proportions and which, owing to the general interrelations of the entire reproduction process as developed in particular by credit, must always call forth general stoppages of a transient nature. Let us also disregard the sham transactions and speculations, which the credit system favours. Then, a crisis could only be explained as the result of a disproportion of production in various branches of the economy, and as a result of a disproportion between the consumption of the capitalists and their accumulation. But as matters stand, the replacement of the capital invested in production depends largely upon the consuming power of the non-producing classes; while the consuming power of the workers is limited partly by the laws of wages, partly by the fact that they are used only as long as they can be profitably employed by the capitalist class. The ultimate reason for all real crises always remains the poverty and restricted consumption of the masses as opposed to the drive of capitalist production to develop the productive forces as though only the absolute consuming power of society constituted their limit. |
www.mlwerke.de/ me/ me25/ me25_493.htm |
Pages 144-145. | www.marxists.org/ nederlands/ marx-engels/ 1894/ kapitaal-3/ 30.htm |
www.marxists.org/ archive/ marx/ works/ 1894-c3/ ch30.htm |
Il faut considérer avec prudence la fin de ce passage. Le manque de demande solvable des masses est le fondement ultime de la crise, avec l’accumulation forcenée. La demande solvable est toujours « insuffisante », du fait de l’exploitation ; ce n’est donc pas la cause immédiate des crises, sinon il n’y aurait jamais d’autre situation que la crise. Marx fait d’ailleurs remarquer au Livre II que toujours les crises suivent une période de hausse des salaires.