Dominique Meeùs
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Auteurs : A, B, C, D, E, F, G, H, I, J, K, L, M, N, O, P, Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z,
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When Patriarchy Kowtows : The Significance of the Chinese Family Revolution for Feminist Theory, Zillah R. Eisenstein (ed.), Capitalist patriarchy and the case for socialist feminism, 1979, p. 299-348.
Article passionnant, très riche en information (une cinquantaine de pages !), d’histoire et d’analyse de la question des femmes en Chine. Il faut que je trouve le temps d’en noter plus.
La ligne politique est très classique en réduisant le patriarcat aux relations de classe. On le voit dans un commentaire autocritique de Hsu Kwang de l’évolution de ses propres idées. Cependant, l’histoire qui précède montre qu’il y a un vrai problème de relations entre hommes et femmes, plus visible chez les paysans. Il est clair que si on partage la terre et que l’homme en devient propriétaire, la femme est particulièrement dépendante de son mari.
At first, Hsu claims, she thought that women had to wage their fight for freedom against men and in the home. Now she knows this was a mistake. “This was trying to settle the woman’s problem in isolation and proved to be quite impractical.” Instead Hsu has learned that the oppression of women has its social roots in private ownership and class exploitation. The only path for women’s emancipation is through the revolutionary historic mission of the proletariat. The bourgeois women’s rights movement is a digression.