Dominique Meeùs
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Ellen Meiksins Wood, The Origin of Capitalism, 2002

Ellen Meiksins Wood , The Origin of Capitalism : A Longer View, Verso , 2002, viii + 213 pages, ISBN : 978-1-858984-392-5.
Édition augmentée (« this substantially revised and expanded edition », p. vii) de Meiksins 1999.

Elle indique p. 8 que le sous-titre de ce livre de 2002, ajouté au titre de 1999, signifie d’une part que le livre est de fait substantiellement plus long, mais aussi d’autre part (« long view ») qu’elle veut mener la réflexion plus loin.

C’est un livre débordant de critiques fines d’idées communément admises, de thèses passionnantes et convaincantes, qui ouvre des tas d’horizons nouveaux, mais qui est étonnamment pauvre, pour un ouvrage de matérialisme historique, en données matérielles. Il n’y a pratiquement aucun chiffre. Il y peu de dates. Mais on trouverait sans doute certaines données concrètes dans des ouvrages cités en note.

1Introduction2[§ 1] Begging the Question

Sous le capitalisme, les exploiteurs ne disposent pas de moyens extra-économiques (pouvoirs militaires, politiques, judiciaires… dont disposent les seigneurs féodaux). Les exploiteurs et les exploités sont conduits par le marché (p. 2-3). C’est une situation très particulière, qu’on ne trouve que dans une période relativement courte et récente de l’existence de l’humanité. (La distinction entre moyens économiques et extra-économiques d’appropriation du surplus revient souvent dans le livre. On trouve extra-economic au moins soixante fois dans le livre. Quatre fois aussi non-economic.)

Cependant, pour l’économie politique classique et les Lumières (p. 4), le capitalisme est préfiguré dans tous les progrès de l’humanité depuis le début et dans tous les échanges. Dans cette prédestination, le capitalisme ne peut que surgir au fur et à mesure que les obstacles sont écartés. On se passe d’explication de l’origine du capitalisme si on suppose qu’il a toujours été présent en germe.

6[§ 2] Opportunity or Imperative ?

« In the classic model, then, capitalism is an opportunity to be taken, wherever and whenever possible. » Mais on parle aussi des forces du marché, ce qui semble plutôt contraignant. Dans le capitalisme installé, société totalement marchande, le marché s’impose. La plus grande partie de la population, privée de moyens de production, qui ne peut se procurer ses moyens d’existence que sur le marché, est condamnée par le marché à vendre sa force de travail pour subsister (p. 7). Le marché est un impératif. Les dictats du marché capitaliste règlent toutes les relations sociales.

9 Part I
Histories of the Transition
11 I
The Commercialization Model and its Legacy
11[§ 1] The Commercialization Model

Il y a depuis presque toujours des échanges marchands. Le développement du marché et le progrès technique conduiraient « naturellement » au capitalisme. Il suffit que ce mouvement puisse se libérer de divers obstacles à son développement, « capitalism emerged when the market was liberated from age-old constraints ». Pour elle au contraire, « the market became capitalist when it became compulsory » (p. 12). On retrouve ici, avec « liberated » versus « compulsory », l’opposition opportunity or imperative introduite p. 6, motif qui revient tout au long du livre.

Dans la foulée de Pirenne, on met en avant la conquête d’autonomie des villes et la libération des vielles traditions.

This liberation of the urban economy, of commercial activity and mercantile rationality, accompanied by the inevitable improve­ments in techniques of production that evidently follow from the emancipation of trade, was apparently enough to account for the rise of modern capitalism.

P. 13.

Dans ce modèle de la commercialisation, on ne présente pas une transformation profonde, mais un simple accroissement quantitatif (p. 13).

Elle relève (p. 14) le glissement de bourgeois, à l’origine simplement habitant d’un bourg, d’une ville, puis, en français surtout, non noble mais exerçant un métier où on ne se salit pas les mains, jusqu’au bourgeois au sens moderne, associé au capitalisme.

As, a famous historian has sardonically described this process, history is the perennial rise of the middle classes.

P. 14.

… mais elle oublie de nous dire qui est cet historien fameux et je suis moins érudit qu’elle.

Dans ce modèle de la commercialisation remontant dans la nuit des temps, le féodalisme apparaît comme une interruption, une pause dans le progrès (p. 14-15).

17[§ 2] After the Classic Commercialization Model

De Weber à Braudel, on a des raffinements du modèle de la commercialisation, tenant mieux compte des contextes spécifiques où le capitalisme apparaît (p. 17). Cependant Weber en reste toujours à faire la différence entre les conditions qui ont empêché le capitalisme et celles qui l’ont favorisé. En outre, il situe les conditions favorables en Europe de l’Ouest en général, en négligeant les grandes différences.

21[§ 3] A Notable Exception : Karl Polanyi

Karl Polanyi fait bien la distinction « between societies with markets, such as have existed throughout recorded history, and a ‘market society’ » (p. 21). Dans les sociétés antérieures, les relations économiques étaient intégrées dans un cadre de relations non économiques. Par rapport au courant de la commercialisation, il insiste sur le développement technique, mais (p. 26) ne montre pas quel changement des rapports sociaux spécifiques ont conduit à cela. À propose de la révolution industrielle (p. 24), l’invention de machines complexes encouragerait la marchandisation. C’est en quelque sorte une inversion du lien de causalité.

27[§ 4] Anti-Eurocentrism

Elle commence par reformuler clairement (p. 28) ce qu’est le modèle de la commercialisation. On a dénoncé l’eurocentrisme, mais sans sortir de l’ornière de ce modèle. On retrouve (p. 30-31) l’idée, que Marx a critiquée, de l’accumulation primitive de capital argent, de richesse. Des sociétés autres que l’Europe de l’Ouest étaient plus avancées, mais l’impérialisme occidental aurait fait obstacle à leur développement. De nouveau, le capitalisme serait depuis toujours naturellement en germe. Il n’y aurait donc nul besoin d’expliquer son apparition, mais seulement les freins à son apparition.

34 2
Marxist Debates
35[§ 1] Marx on the Transition

Elle voit chez Marx lui-même « two different narratives » sur la transition.

One is very much like the conventional model, where history is a succession of stages in the division of labour, with a transhistorical process of technological progress, and the leading role assigned to burgher classes who seem to bring about capitalism just by being liberated from feudal chains.

P. 35.

Ça, c’est ce que Marx donne dans l’Idéologie allemande et dans le Manifeste. Sa « truly distinctive ’Marxist’ approach », c’est dans les Grundrisse et dans le Capital qu’on la trouve. C’est dans le chapitre sur la soi-disant « accumulation initiale » qu’il romp avec l’ancien paradigme (p. 35) et avec la tradition de l’économie politique classique : « capital, as Marx defines it, is a social relation and not just any kind of wealth or profit » (p. 36).

37[§ 2] The Transition Debate

Le premier débat sur la transition est le fameux débat entre Maurice Dobb et Paul Sweezy, ce dernier critiquant le livre de 1946 de Dobb. Les articles de Sweezy, de Dobb et d’autres à l’époque dans la revue Science & Society ont été réunis en brochure en 1954, puis en livre dans différentes éditions à partir de 1976, avec d’autres articles d’après 1954.

Au cœur du débat entre Dobb et Sweezy (p. 38), la question du « prime mover » de la transition : le trouvera-t-on dans les relations sociales de la féodalité (seigneurs et paysans) ou dans un facteur extérieur (en particulier le commerce) ?

On avait tendance à voir une révolution des villes contre la féodalité. Ce qui est nouveau chez Dobb (et chez Hilton), c’est que le commerce et les villes de la féodalité n’y sont pas un corps étranger. Hilton a montré les erreurs matérielles de Pirenne et souligné que la « révolution commerciale » fait partie intégrante du système féodal, qu’elle ne pouvait pas être le dissolvant de la féodalité, même si ça avait contribué à la transition.

Pour Dobb et Hilton (p. 38-39), il faut chercher les causes de la transition dans le changement des rapports sociaux en conséquence de la lutte de classes entre seigneurs et paysans. En déplaçant le prime mover de la ville à la campagne, ils remettent bien en question le modèle de la commercialisation, mais semblent en conserver un présupposé de base : le capitalisme existe de toute éternité en germe, n’attendant que d’être libéré (p. 41-42).

Sweezy n’est pas fort convaincu (p. 40) par l’interprétation habituelle1 de « la voie révolutionnaire » de Marx : de petits producteurs devenant capitalistes, ni par la transformation du putting-out en exploitation de salariés2. Il voit plutôt des producteurs commençant d’emblée comme producteurs marchands et capitalistes.

44[§ 3] Perry Anderson on Absolutism and Capitalism

Anderson analyse l’absolutisme et son évolution. Il y a de fait des formes différentes d’absolutisme, avec des rôles différents, tant sur le plan de l’extraction du surplus que du pouvoir d’État, des partages différents de prélèvement du surplus et du pouvoir entre monarchie et seigneurs féodaux. C’est essentiel dans l’étude de la transition, mais chez Anderson, ça joue encore plutôt comme une libération (p. 46, p. 47) d’une dynamique capitaliste qui n’attendait que ça. L’argument d’Anderson ne serait en fin de compte qu’un raffinement du modèle de la commercialisation (p. 47).

[Toute ces discussion du sens de la causalité dans l’histoire me font penser qu’on doit admettre explicitement le contingent. Dans la féodalité paradigmatique, la terre n’appartient qu’à Dieu. Certains se retrouvent en statut de seigneur « depuis toujours » (une origine contingente oubliée) et d’autres en statut de paysans soumis aux premiers. (Cela vient aussi d’événements conjoncturels, mais oubliés.) Le monarque est d’abord primus inter pares et cela laisse une trace même dans la voie de la monarchie absolue. En Angleterre aussi, la terre était à Dieu, mais quand Guillaume le Conquérant la conquiert, elle devient à lui et ça on s’en souvient. C’est un facteur contingent dans l’histoire d’Angleterre, à moins de montrer que la conquête normande serait due à une contradiction entre forces productives et rapports sociaux ou serait due aux villes ou au commerce, ou à quelque loi dialectique de l’histoire. Bien sûr, on peut considérer que tout a une cause, aussi la conquête normande, mais elle peut être d’un tout autre ordre que les mouvements de l’histoire dont on discute. Quand Darwin dit que les changements sont dus au hasard, il ne dit pas qu’ils sont sans cause. Il dit explicitement que par hasard il exprime que ce sont des causes d’un tout autre ordre que l’évolution qui en résulte.]

Ellen Meiksins Wood souligne (p. 47) que l’Angleterre n’a pas connu un absolutisme à la française et que l’absolutisme en France n’a pas accouché du capitalisme.

Anderson s’étant référé au paragraphe (au sens français du mot3) de Marx intitulé Genèse du capitaliste industriel, Ellen Meiksins Wood considère (p. 48) que Marx, là, discute de l’origine du capitaliste, pas du capitalisme.

50 3
Marxist Alternatives

De nouveau, en début de chapitre, l’opposition imperatives, opportunities.

50[§ 1] The Brenner Debate

Un article de Brenner en 1976 ouvre un deuxième débat sur la transition en mettant en question le modèle démographique et le modèle de la commercialisation. Ellen Meiksins Wood expose d’abord (p. 51-56) les apports de Brenner. Certains auteurs, comme Michael Mann ou Perry Anderson (p. 52), font état d’évolutions générales de la féodalité en Europe, ce à quoi Brenner objecte (p. 52-53) les spécificités de l’Angleterre. Les seigneurs donnaient de la terme à ferme à des fermiers, pour des loyers contractuels liés au marché et non selon la loi et la coutume comme à l’égard de paysans dépendants. Les landlords anglais ne disposaient pas (mais ils n’en avaient plus vraiment besoin) des moyens extra-économiques de leurs pairs français. (Elle résume Brenner et bien sûr Brenner doit en dire plus, mais on aimerait savoir de quand on parle. Les rapports sociaux en Angleterre ne sont pas restés figés du 11e au 18e siècle.) Elle développe (p. 55-56), à propos des critiques de Guy Bois et d’Emmanuel Le Roy Ladurie contre Brenner, cette idée d’appropriation extra-économique du surplus, avancée par Marx, que Brenner appelle politically constituted prop­erty, au contraire du capitalisme ou l’appropriation du surplus est purement économique.

Une des objections qu’on a faites à Brenner porte sur la productivité. Ellen Meiksins Wood (p. 57) fait cette remarque de la plus haute importance qu’on confond rendement (du sol) et productivité (du travailleur). En Angleterre, par rapport à la France, même si cette dernière avait un bon rendement agricole, un plus petit nombre de travailleurs agricoles pouvait nourrir un plus grand nombre de gens des villes. Elle y revient au § 2 du chapitre 6.

Encore p. 60, imperatives, opportunities.

Le mot landlord, d’un point de vue diachronique, est une grande difficulté, plus encore quand on n’est pas locuteur natif de l’anglais. Le landlord féodal est le lord sur une certaine terre. Cela lui donne le droit (extra-économique) de s’approprier le surplus de la production paysanne sur cette terre, en nature ou en argent. Si c’est en argent, on peut le dire rentier, mais dans un sens féodal du mot rentier. (C’est tout aussi extra-économique qu’en nature.) Mais il est devenu, dans la période (non définie ici) que Brenner étudie, un propriétaire foncier au sens moderne et sa rente féodale est remplacée par une rente capitaliste (p. 6), mais il s’appelle toujours landlord… au sens moderne du mot.

61[§ 2] Brenner and ‘Bourgeois Revolution’

Pour Brenner (p. 62), la conception traditionnelle de la révolution bourgeoise appartient à une première phase de la pensée de Marx, correspondant à un matérialisme historique mécaniste des Lumières, sur le développement des forces productives. En fait, le sens du mot révolution bourgeoise pose le problème des différents sens du mot bourgeoisie (p. 63). Elle y revient dans son propre développement au § 5 du chapitre 5.

65[§ 3] E. P. Thompson69[§ 4] Summing Up71 Part II
The Origin of Capitalism
73 4
Commerce or Capitalism ?
74[§ 1] Towns and Trade

L’autonomie des villes n’explique pas le capitalisme (p. 75-76). Le capitalisme est né en Angleterre, alors que c’est là que les villes étaient le moins autonomes. Même les grandes puissances économiques (non capitalistes) sont basées sur l’appropriation extra-économique du surplus agricole.

80[§ 2] Commerce in Basic Necessities85[§ 3] Florence and the Dutch Republic

La République des Pays-Bas a été la dernière grande société commerciale non-capitaliste (p. 94).

95 4
The Agrarian Origin of Capitalism
95[§ 1] Agrarian Capitalism

Elle reparle (p. 103-104) du caractère de la monarchie française, opposée au § 3 du chapitre 2, p. 47 à la monarchie anglaise.

Le capitalisme tend à créer un marché national unifié, qui a existé assez tôt en Angleterre, tandis qu’en France, il faudra attendre Napoléon Bonaparte pour lever les barrières intérieures au commerce (p. 105).

105 [§ 2] The Rise of Capitalist Property and the Ethic of ‘Improvement’

Avant d’être amélioration (qui est le sens en anglais d’aujourd’hui), improvement, étymologiquement4, c’est augmenter son profit (p. 106).

108[§ 3] Enclosure109[§ 4] Locke’s Theory of Property116[§ 5] Class Struggle and Bourgeois Revolution123 Part II
Agrarian Capitalism and Beyond
125 6
Agrarian Capitalism and Beyond
125[§ 1] The Golden Age of Agrarian Capitalism129[§ 2] Was Agrarian Capitalism Really Capitalism ?

Elle revient sur la différence entre rendement et productivité déjà mise en avant au § 1 du chapitre 3.

134[§ 3] Market Dependence and a New Commercial System

Le capitalisme suppose un prolétariat, qui par définition n’a aucun moyen et qui dépend donc entièrement du marché, il doit tout acheter : « compelled to buy » (c’est elle qui souligne, p. 138). Cela présuppose aussi l’ « ability to buy », cela dépend du niveau de la valeur de la force de travail.

142[§ 4] From Agrarian to Industrial Capitalism147 7
The Origin of Capitalist Imperialism
147[§ 1] Pre-Capitalist Imperialism152[§ 2] Ireland : A New Capitalist Imperialism156[§ 3] Empire and the Ideology of Improvement161[§ 4] From Enclosure to Empire ?166 8
Capitalism and the Nation State
167[§ 1] The Sovereign Territorial State in Pre-capitalist Europe171[§ 2] The State in Capitalist England174[§ 3] Capitalism and International Relations176[§ 4] Capitalism and the Nation State182 9
Modernity and Postmodernity
182[§ 1] Modernity versus Capitalism : France and England189[§ 2] Postmodernity193Conclusion
Acheté le 25 janvier 2016 au Book Depository et reçu le 4 février.
Notes
1.
De fait, Sweezy ne conteste pas Marx, mais ce qu’il considère comme « a misreading of Marx » (Dobb & al. 1954:18). À l’appui de sa propre interprétation, Sweezy renvoie là à d’autres passages chez Marx.
2.
David Palliser (Palliser 1983:249-250) mentionne, en marge du putting-out, des entreprises occupant des salariés, mais on ne sait pas si ces capitalistes avaient, ou non, d’abord été marchands et exerçant alors, ou non, le putting-out.
3.
J’utilise ici le mot français paragraphe dans son sens français de subdivision d’une division d’un texte, généralement d’un chapitre. (Article paragraphe du Trésor de la langue française informatisé, TLFi.) Les paragraphes peuvent être numérotés et il existe un signe particulier, §, à mettre devant le numéro si on le désire. Le Livre I du Capital de Marx, par exemple, est divisé (à partir de 1872) en sections (Abschnitt) et celles-ci en chapitres (Kapitel), et ceux-ci peuvent avoir des subdivisions numérotées. Pour moi, la division en dessous de chapitre, je l’appelle paragraphe. [Le paragraphe anglais est l’alinéa du français (que l’on appelle aussi — abusivement, dit le TLFi — paragraphe en français) et le paragraphe du français est en anglais plutôt section. Les sections du Livre I du Capital sont parts en anglais. le signe Unicode U+00A7 § est appelé SECTION SIGN, paragraph sign in some European usage. Malheureusement les premiers traducteurs de programmes de traitement de texte ont paresseusement repris en français le mot anglais. Il en résulte qu’aujourd’hui la plupart des gens ne connaissent plus le sens ordinaire, premier, de paragraphe et ne disent paragraphe que pour alinéa, dont ils ont jusqu’à oublié l’existence.] Aux titres des paragraphes de ce livre-ci, c’est moi qui ajoute les § 1, § 2… pour faire ressortir la structuration.
4.
Voir l’étymologie du verbe improve dans le Wiktionary.